L’univers de Stephen King est de retour dans une nouvelle série diffusée sur HBO, inspirée des films Ça.
Pennywise, Grippe-Sou, le Clown dansant, Ça… Le personnage le plus effrayant et mystérieux de l’œuvre de Stephen King est de retour dans une série événement intitulée Ça, bienvenue à Derry. Coulrophobe, vous êtes prévenus, les clowns règnent en maitre sur HBO avec cette nouvelle adaptation du livre Ça.
À Derry (Le Maine) dans les années 1960, plusieurs enfants disparaissent, sans que les adultes parviennent à résoudre l’affaire. Un groupe de jeunes adolescents s’unissent pour faire face à l’horreur qui rôde et sont victimes d’étranges visions cauchemardesques. Parmi ces images aux formes multiples : un clown terrifiant, Pennywise, à l’origine mystérieuse et qui entraine les enfants dans les égouts de la ville pour les dévorer.
Faut-il voir avoir vu les films Ça pour comprendre la série ?
Diffusés sur HBO dès ce 27 octobre avec un rythme hebdomadaire, les huit épisodes de Ça, bienvenue à Derry promettent une bonne dose d’horreur à l’approche d’Halloween. Entre le retour de Bill Skarsgård dans la peau du clown Pennywise et d’Andy Muschietti derrière la caméra pour réaliser plusieurs épisodes, cette nouvelle production est intimement liée aux films de 2017 et 2019.
Véritable préquelle se déroulant avant les éléments des longs-métrages, le show a pour ambition d’adapter les chapitres interludes du roman de Stephen King. Pour Andy Muschietti (également créateur du show), l’idée est de retourner dans l’œuvre du maitre de l’horreur et d’adapter les pages qu’il n’a pas pu mettre dans les deux films par manque de temps et de cohérence narrative.
Toute la genèse du clown et son rôle dans les années 1960 sont donc racontés dans la série, alors que les films s’intéressent aux années 1980, puis 2010. Il n’est donc pas nécessaire de voir ces derniers avant de découvrir Ça, bienvenue à Derry, puisque cette dernière se déroule avant. Elle a néanmoins été construite comme un spin-off, et pourrait bien faire des liens plus ou moins implicites avec les personnages et les événements qui ont lieu dans les longs-métrages.
