En amont de la deuxième saison attendue le 3 juillet, ADN ouvre un café immersif du 13 au 15 juin au cœur de Paris. Un lieu éphémère et gratuit, pour prolonger l’expérience.
Après avoir électrisé les salles de cinéma les 7 et 8 juin avec le film DanDaDan : Evil Eye – qui incluait les trois premiers épisodes de la seconde saison de l’anime –, ADN poursuit les festivités en ouvrant un café éphémère inédit à Paris. Une manière immersive de célébrer l’arrivée très attendue de la suite, qui débutera le 3 juillet sur ADN, Crunchyroll et Netflix. Ainsi, les fans auront trois jours pour s’immerger dans l’univers déjanté et surnaturel de la série.
Un lieu pop-up
Installé au 27 boulevard Jules Ferry, dans le 11e arrondissement, le DanDaDan Café by ADN ouvrira ses portes du 13 au 15 juin. Réparti en plusieurs sessions de 90 minutes, ce pop-up immersif invite le public à vivre de l’intérieur les scènes cultes du manga, entre friandises, décors scénographiés et surprises.
Conçu comme une extension sensorielle de l’anime, le lieu s’articule autour de plusieurs espaces. On y trouve une salle de projection inspirée de la maison de Seiko – la grand-mère de Momo –, un photocall immersif, une boutique de goodies et même une machine à pinces pour tenter de repartir avec des lots officiels. Les boissons et snacks s’inspirent directement des personnages de la série.
L’accès est gratuit et sur réservation, avec trois créneaux possibles chaque jour. Mauvaise nouvelle pour les derniers venus : les places sont déjà complètes, témoignant de l’engouement intense autour de cette deuxième saison.
Un manga révolutionnaire
Adapté du manga de Yukinobu Tatsu, DanDaDan raconte l’histoire de Momo, une lycéenne médium, et d’Okarun, un nerd convaincu de l’existence des aliens. Leur affrontement de croyances les entraîne dans un univers où fantômes et extraterrestres se croisent, dans un chaos aussi burlesque qu’épique.
Réalisé par le studio Science Saru, l’anime a bousculé les codes avec une esthétique flamboyante et une mise en scène frénétique, hyper rythmée. Mélange d’horreur, de comédie romantique et de fantastique, l’œuvre impose un ton hybride et jubilatoire, qui a séduit autant les critiques que les spectateurs. Elle est considérée comme l’un des titres les plus audacieux de sa génération.
