Fortement demandé par les fans, l’anime culte sur les aventures de Sangoku offrirait à coup sûr de nombreuses heures de marathon.
Toujours plus populaires, les anime sont aujourd’hui très nombreux sur les plateformes et il est possible d’en découvrir un bon nombre sur Netflix, qui va bientôt redonner vie au plus puissant sorcier. Il existe néanmoins encore des œuvres de la culture japonaise que la plateforme au grand N n’a pas encore à sa disposition.
Un message qui laisse présager un avenir radieux sur Netflix
S’il y a bien un animé qui manque au catalogue Netflix, c’est incontestablement Dragon Ball. En plus de la série et sa suite Dragon Ball Z, on parle évidemment des nombreux OAV et suites dérivées que la franchise a connues. Un grand nom de l’anime et de la pop culture absent du catalogue Netflix, mais la plateforme pourrait réparer ce tort d’ici peu. Il se murmure en effet que, dans les coulisses, le géant du streaming s’active pour attirer la licence dans ses filets. Face à des fans réclamant depuis un moment déjà l’arrivée de la série, il aura suffi d’un simple tweet pour donner de l’espoir à ces derniers. Un utilisateur leur a demandé via Twitter de « mettre Dragon Ball », et le compte Netflix France a répondu du tac au tac : « On essaye à fond, avant même ton premier message ». Une simple phrase qui démontre bien l’envie de la plateforme de proposer l’intégralité (ou du moins une grande partie) de l’anime emblématique très prochainement.
Mais ce message pourrait aussi être la preuve de la complexité du dossier : Dragon Ball étant une franchise mondialement connue, ses droits d’exploitation et de distribution ne doivent pas être simples à acquérir, même lorsqu’on s’appelle Netflix. Excepté l’OAV L’Attaque du Dragon, l’univers imaginé par Akira Toriyama reste mystérieusement absent de leur catalogue et nul doute que sa présence offrirait de nombreuses heures de marathons aux fans. Entre les 153 épisodes de Dragon Ball, les 291 de Dragon Ball Z, les 64 de Dragon Ball GT, les 167 de Dragon Ball Z Kai ou les 131 de Dragon Ball Super, il y a de quoi faire.
De quoi réviser avant le très attendu nouveau film
Pour le moment, c’est la chaîne Fuji Television qui diffuse Dragon Ball Super et il paraît donc impossible pour Netflix d’obtenir les droits de la série. Cependant, la plateforme au grand N pourrait régaler la vaste communauté avec Dragon Ball et Dragon Ball Z, voire Dragon Ball GT. Paru pour la première fois en 1984, le manga d’Akira Toriyama est aujourd’hui une œuvre culte, tant il a bercé plusieurs générations. Encore aujourd’hui, avec Dragon Ball Super et le futur film attendu au cinéma, la licence continue d’attirer. Pour beaucoup, Dragon Ball est même considéré comme le père des animés, celui qui a permis à cette culture japonaise de s’étendre et de toucher de nouveaux marchés avec les pays occidentaux.
Puisqu’il est question du prochain film, intitulé Dragon Ball Super : Super Hero, le réalisateur du film Tetsuro Kodama était récemment l’invité d’un panel digital au DB Games Battle Hour. L’occasion de justifier le choix de la 3D pour ce long-métrage. Selon lui, il a « pour mission d’innover et d’aider à toucher de nouveaux fans ». Alors que l’on attend toujours une date de sortie en France, Dragon Ball Super : Super Hero est attendu dans les salles obscures japonaises le 22 avril prochain.
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