
Freida McFadden a marqué le printemps avec un nouveau thriller haletant baptisé La prof. Mais outre le drame qui se joue à travers les pages du roman, une étrange dédicace a également attiré la curiosité des lecteurs et lectrices.
Le 16 avril dernier, Freida McFadden dévoilait son nouveau polar : La prof (City Editions). Après le succès de La femme de ménage et de La psy, l’autrice américaine a imaginé une histoire entre les murs d’un lycée. On y suit Eve et Nate, un couple d’enseignants qui d’apparence mène une vie banale et bien rangée. Toutefois, le séduisant professeur de mathématique entretient une relation extra-conjugale avec une de ses élèves, Addie, dont la réputation a été entachée à la suite d’un scandale ayant mené au renvoi d’un professeur, l’année passée.
Entre thriller et tromperie, Freida McFadden offre avec La prof une histoire prenante qui multiplie les rebondissements et séduit les lecteurs et lectrices. En effet, depuis sa sortie, le livre caracole en tête des ventes, selon le site GFK Livres Hebdo, suivi de prés par un autre polar qui a marqué le début de l’année 2025, le roman de Joel Dicker, La très catastrophique visite du zoo (Rosie & Wolfe).
« Beurk, s’il te plaît, ne fais pas ça »
Si les lecteurs et lectrices pointent un vrai « page-turner » ainsi qu’une singularité des points de vue développée tout au long du roman, ce n’est pas la seule originalité du livre. Ce dernier a également marqué son lectorat en raison d’une dédicace étonnante que Freida McFadden adresse dans les dernières pages à sa fille.
Après des remerciements classiques, les lecteurs et lectrices ont pu découvrir la phrase suivante : « Beurk, s’il te plaît, ne fais pas ça », comme un clin d’œil d’une mère à sa fille. Plus précisément, et selon Télé-Loisirs, la première aurait demandé à la seconde durant l’écriture de La prof d’imaginer un poème qui pourrait alors faire partie de l’histoire. Un geste qui méritait selon Freida McFadden d’être crédité et pointé dans les remerciements à l’issue de l’écriture, mais que sa fille a catégoriquement refusé, la notifiant du fameux : « Beurk, s’il te plaît, ne fais pas ça ».
Alors comme un pied de nez à cette poétesse de l’ombre, l’autrice a choisi de l’insérer avec humour et originalité. Une dédicace qui n’est pas passée inaperçue pour les lecteurs et lectrices de La prof, mais qui demeurera très certainement ignorée par la personne visée. Car pour couronner le tout, la fille de Freida McFadden aurait confié à sa mère ne pas vouloir lire son dernier roman. « Plutôt mourir » aurait-elle déclaré.