Comme toujours très présent sur les réseaux sociaux, le réalisateur a lâché un indice sur le casting potentiel de son prochain long métrage.
Certains créateurs prennent presque autant de plaisir à annoncer leurs plans qu’à démentir les rumeurs lancées par les fans ou de pseudos insiders sur les réseaux sociaux. Outre Neil Gaiman, le créateur de Sandman, très friand de la discipline, James Gunn est, lui aussi, impliqué, notamment sur Twitter. On se souvient qu’il y a peu, il évoquait la date de sortie de Superman: Legacy sur le réseau, une date anniversaire particulièrement touchante pour lui. Alors que certains impatients dressaient déjà une liste d’acteurs potentiels que le réalisateur aurait auditionnés, Gunn a publié un démenti sur l’état d’avancement de cette étape cruciale.
Superman, pas Superteen
S’appuyant sur les déclarations d’un compte dédié à l’univers DC Comics à plus de 50 000 abonnés, un fan a demandé directement au nouveau boss du DCU si ces assertions étaient vraies ou non. Le post initial faisait état d’un casting déjà lancé pour les personnages de Superman/Clark Kent, Lois Lane et Jimmy Olsen. Les critères auraient été, selon cette source, un âge autour de la vingtaine et une ouverture à toutes les origines ethniques. Gunn a répondu par la négative, expliquant qu’à ce stade du projet, il n’en était qu’à dresser des listes potentielles. Surtout, il a précisé que l’âge de l’acteur n’était clairement pas limité à de si jeunes acteurs.
Trop bon, trop krypton
Il ne s’agit pas d’une première fois, le réalisateur ayant déjà donné des précisions sur sa vision du futur héros de Superman: Legacy. S’il a écarté Henry Cavill du casting, au grand regret des fans de l’acteur, c’est évidemment parce que son âge était un obstacle à son personnage. Cavill fêtera en effet ses 40 ans cette année, le 5 mai prochain (préparez vos cadeaux). Le futur scénario s’articulant autour des racines mêlées de Superman, entre ses origines kryptoniennes et son enfance humaine, il ne s’agira pas d’une origin story. Par ailleurs, le réalisateur a souvent insisté sur la particularité du personnage, profondément juste et bon, sa plus grande faiblesse dans un monde qui considère la bienveillance comme telle.
