Maxime Chattam casse le code des auteurs de polar : le trentenaire, qui navigue entre thriller et horreur, reprend les codes anglo-saxons pour s’imposer comme une référence du genre.
Maxime Chattam casse les codes du polar français : il navigue entre thriller et horreur, envoie valser les étiquettes littéraires, reprend les codes anglo-saxons pour s’imposer comme une référence du genre.
Tout commence… à la Fnac !
Maxime Drouot se destinait à une carrière d’acteur… mais l’ancien pensionnaire du cours Simon reprend des études de lettres modernes pour se recentrer sur l’écriture, sa véritable passion. En 1999, il est embauché au rayon policier de la Fnac, poste qui lui permet de tisser des liens avec les maisons d’édition. C’est le point de départ de l’aventure littéraire, sous le nom de Chattam.
D’une saga à l’autre
L’Âme du mal est publié en 2002 chez Michel Lafon. Le succès est immédiat. Ce livre est le premier tome d’une trilogie sur les tueurs en séries, qui sera poursuivra avec In Tenebris en 2003 et Maléfices en 2004.
Pour parfaire son écriture, mieux maîtriser ses intrigues et être au plus près de la vérité, Maxime Chattam retourne sur les bancs de l’école et entame des études de criminologie. Entre 2006 et 2008, il écrit une trilogie, Le Cycle de l’homme et de la vérité, qui comprend Les Arcanes du chaos, Prédateurs et La Théorie Gaïa.
Il complète sa bibliographie déjà touffue avec une saga fantastique en 5 volumes, intitulée Autre-monde, qui paraît entre 2008 et 2012 (plus de 600 000 exemplaires vendus). Maxime Chattam aime surprendre et expérimenter des genres divers. Son 20e roman – Que ta volonté soit faite – est un roman très noir qui ravira ses plus fidèles lecteurs. Avec Le Signal, en 2018, il continue son exploration du Mal et de ses origines.
Ce fan de Stephen King a vendu 4,5 millions de livres en France. Il est traduit dans plus de quinze langues.
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