Décryptage

Tout savoir sur le studio qui se cache dérrière Dragon Ball Fighter Z et Guilty Gear

11 octobre 2019
Par Dimitri
Tout savoir sur le studio qui se cache dérrière Dragon Ball Fighter Z et Guilty Gear

Fondé en 1988, Arc System Works traverse les époques depuis trois décennies en créant des jeux de qualité qui ont marqué des générations. De quoi parle-t-on ? Du studio japonais à qui l’on doit le mythique Double Dragon, mais aussi la saga Giulty Gear ou l’excellent Dragon Ball FighterZ. Découverte.

Fondé en 1988, Arc System Works traverse les époques depuis trois décennies en créant des jeux de qualité qui ont marqué des générations. De quoi parle-t-on ? Du studio japonais à qui l’on doit le mythique Double Dragon, mais aussi la saga Guilty Gear ou l’excellent Dragon Ball FighterZ. Découverte.

Aux origines d’Arc System Works

Rockstar, Quantic Dream, Bethesda, Naughty Dog… Rares sont les studios à atteindre la notoriété de leurs créations. Arc System Works fait partie de ces acteurs de l’ombre du gaming. Et pourtant, derrière ce nom se cachent des titres particulièrement connus et appréciés des gamers. Parmi ceux-là, on trouve notamment le récent jeu-phénomène Dragon Ball FighterZ, qui a considérablement renouvelé la licence à succès d’Akira Toriyama. Arc System Works est en effet un studio spécialisé dans les jeux combats. La boîte basée à Yokohama a été fondée par Minoru Kidooka, l’un des pionniers de Sega. Le personnage, particulièrement visionnaire, fut l’un des premiers à anticiper les consoles de salon à l’âge d’or des bornes d’arcade (années 1980/90). On lui doit notamment l’adaptation sur NES de l’une des plus grandes licences de l’époque : Double Dragon. Sans son studio, le titre n’aurait certainement jamais autant marqué la génération de la fin des années 1980.

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Les débuts dans le jeu vidéo

Pourtant, le succès d’Arc System Works n’a pas été immédiat. L’entreprise a connu des débuts difficiles. Avec seulement une dizaine d’employés à ses prémices, le studio a débuté par la location de services (qui consistait la plupart du temps à travailler sur le portage de jeux d’arcade sur consoles). En 1994, avec l’arrivée de Sony sur le marché de l’industrie vidéoludique et l’apparition du support CD, la boîte a commencé à prendre son indépendance d’avec les autres studios (comme Sega et Namco) et à voler de ses propres ailes en décidant de développer à son tour des jeux vidéo. Toujours avec le même goût pour la baston !

La naissance de l’incontournable Guilty Gear

La fin des années 1990 a été une véritable rampe de lancement pour Arc System Works. En 1998, la licence des Guilty Gear – devenue aujourd’hui une référence – paraît pour un premier épisode qui sera acclamé par la critique et les gamers. Avec son identité propre et son système de combat innovant, le titre s’est imposé tout à fait naturellement, au moment où tous les autres jeux tentaient de surfer sur la vague enclenchée par Street Fighter. Guilty Gear est aujourd’hui une référence incontournable du jeu de combat, qui continue encore aujourd’hui à rencontrer un incroyable succès avec Guilty Gear RXD Revelator sorti en 2016 et sa suite un an plus tard avec RXD Revelator 2.

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Un studio qui continue de nous faire rêver

Qu’on soit jeune gamer ou non, une chose est sûre : il est rare que des studios comme Arc System Works continuent de traverser les années sans jamais vaciller. Avec BlazBlue Cross Tag Battle, dernier opus de la licence BlazBlue, le studio s’ouvre à une nouvelle génération de joueurs, avec un système de combat innovant et addictif accessible à tous. Vous l’aurez compris, l’entreprise nippone a encore de beaux jours devant elle et continue toujours autant à nous faire rêver.

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Article rédigé par
Dimitri
Dimitri
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