Lancée en octobre 2015 par Glenn Tavennec, La Bête noire est la jeune collection policier / thriller de Robert Laffont. Comme son nom l’indique, l’accent est mis sur les histoires sombres. La Bête noire, c’est celle que l’on redoute, et quand elle sort de son antre, c’est pour mieux vous faire trembler et vous tenir en haleine…
Le polar, dans l’ADN de Robert Laffont
Le polar est un genre pratiqué depuis longtemps chez Robert Laffont, comme le rappelle le directeur de la collection : « Depuis 1954 et la toute première enquête de Nestor Burma dans Les Nouveaux Mystères de Paris de Léo Malet ». Depuis, la maison d’édition a publié de grands auteurs comme Michael Crichton, John Grisham, Kathy Reichs, Ken Follet ou Minette Walters, mais elle souhaitait une nouvelle collection avec un cachet particulier qui sortirait des sentiers battus, cultiverait particulièrement ce qu’il y a de plus noir dans le thriller et le policier tout en faisant connaître de nouvelles plumes.
Naissance de la Bête
C’est donc chose faite avec La Bête noire inaugurée en octobre 2015 avec un titre prédestiné : Les Fauves d’Ingrid Desjours, un thriller très actuel sur fond d’intégrisme religieux. La collection réunit des auteurs français et étrangers confirmés comme Romain Slocombe, Ingrid Desjour, Alexis Aubenque, Cédric Bannel ou Claire Favan, et des primo romanciers comme l’Américaine Amy Gentry, l’Allemande Annette Wieners, Ingar Johnsrud (révélation du polar norvégien), les Britanniques Daniel Cole et L.S. Hilton dont le roman Maestra fut un beau succès en librairie. Le point commun de tous ces auteurs, un goût prononcé pour le côté obscur de l’âme humaine… Alors, prêts à affronter la bête ?
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