Le roman d’Elif Shafak continue de faire sensation depuis sa sortie en août dernier et reçoit des critiques dithyrambiques.
Bien que la rentrée littéraire soit passée, certaines sorties connaissent une vie sur le moyen et long terme, et des romans gagnent en portée à mesure que les semaines passent.
C’est le cas du livre Les fleuves du ciel (Flammarion) d’Elif Shafak, publié le 20 août 2025, deux ans après son roman L’île aux arbres disparus (Flammarion). Dans Les fleuves du ciel, une œuvre intergénérationnelle, l’autrice suit le destin de trois personnages à trois époques différentes : Arthur, en 1840 à Londres, Naryn, en 2014 en Turquie, et Zaleekhah, une hydrologue passionnée, en 2018. Traitant des cultures, des évolutions et des liens qui entrelacent les peuples et les civilisations, avec une place importante accordée à la mémoire de l’eau et à la symbolique de cet élément, Elif Shafak offre un roman puissant et dense.
Le livre continue de convaincre lecteurs et critiques, et pourrait bien être l’un des immanquables de cette fin d‘année 2025.
Que disent les critiques sur Les fleuves du ciel ?
Entre sa richesse narrative, sa construction de personnages et ses thématiques connectées et liées à un élément puissant, Les fleuves du ciel est un roman qui ne laisse pas indifférent. Pour Télérama, c’est « une odyssée poétique dans les méandres de la vie » qui « entremêle plusieurs destins, époques et cultures » dans « un ambitieux roman au propos politique, porté par une écriture généreuse ».
Le Monde parle d’un roman « magnétique » qui « parcourt les méandres de l’histoire, entre Angleterre et Mésopotamie, Dickens et Gilgamesh ». Libération évoque pour sa part « une épopée aquatique à travers les siècles » et Courrier international parle de « réflexions historiques et sociales » maniées « avec virtuosité » par Elif Shafak. Un incontournable à découvrir dès maintenant en librairie.