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Sous la Seine sur Netflix : 3 choses à savoir sur le film de requin tant attendu

03 juin 2024
Par Robin Negre
Bérénice Bejo dans “Sous la Seine”.
Bérénice Bejo dans “Sous la Seine”. ©Netflix

Le nouveau film catastrophe est attendu sur la plateforme ce 5 juin 2024. L’Éclaireur revient sur trois choses à savoir.

1 L’attaque de requin : film de genre par excellence

Film réaliste, nanard de série B, surenchère constante… Les films de requin sont légions et continuent de jouer avec le genre en proposant des situations originales avec des prédateurs de plus en plus impressionnants.

Après la lutte de Jason Statham face à des mégalodons dans En eaux très troubles (2023), c’est au tour de Bérénice Bejo de devoir gérer une attaque de requin dans la Seine et dans la capitale. Avec un style jouant justement avec l’aspect très réaliste (et sanglant) sans s’empêcher de laisser libre court à une démesure volontaire, Sous la Seine promet un spectacle aussi horrible que jouissif.

La bande-annonce de Sous la Seine.

2 Un évènement sportif dans la capitale : l’actualité évidente

Avec Paris comme toile de fond — offrant déjà un décor original pour une attaque de requin –, rien de mieux que de faire grimper les enjeux avec un évènement sportif devant se passer justement dans la Seine, alors que l’animal rode… Sous la Seine utilise évidemment l’actutalité sportive des Jeux à venir, et se moque gentiment de la question fatidique : sera-t-il possible de se baigner dans le fleuve parisien cet été ?

Entre la satire et la parodie — mais aussi la présence de l’actrice Anne Marivin dans la peau de la Maire de Paris –, Sous la Seine semble vouloir mettre en avant le ridicule de la situation.

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3 Réalisé par Xavier Gens : la touche singulière

Si Xavier Gens n’est pas forcément connu du grand public, sa filmographie parle d’elle-même et met en exergue un style et un ton porté sur la violence explosive et sur l’horreur. Réalisateur d’Hitman (2007), Frontière(s) (2007), The Crucifixion (2017), Cold Skin (2017), le récent et remarqué Farang (2023) ou encore les séries Gangs of London et Lupin, Xavier Gens n’hésite pas à proposer une imagerie forte et des séquences graphiques jouant sur le gore.

Avec un requin et des nageurs dans la Seine, le réalisateur trouve un terrain de jeu correspondant bien à son style cinématographique et peut laisser libre cours à ses plus belles mises à mort !

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