Durant une interview, l’acteur principal du show, Colin Farell, a révélé quelques informations sur la prochaine série autour du Pingouin.
En pleine promotion de son dernier film, The Banshees of Inisherin, Colin Farell multiplie les interviews. Outre le fait qu’il y partage la vedette avec Brendan Gleeson, le long métrage concourt dans pas moins de neuf catégories aux prochains Oscars. Pourtant, en dépit du poids monstrueux de ces attentes pour l’équipe, il est rare que les entretiens ne finissent pas par évoquer la prochaine série The Penguin, dans laquelle l’acteur reprendra son rôle de Oswald Cobblepot de The Batman. Dans un podcast organisé par Variety, Farell a dévoilé la durée de la première saison du show, qu’il estime à huit épisodes. Il s’est toujours montré enthousiaste et très disert au sujet du projet autour du personnage iconique de DC Comics.
Oscar pour Oswald ?
Par ailleurs, l’artiste, favori parmi les prétendants à l’Oscar du meilleur acteur, explique que, si tout se passe comme prévu, avec un succès d’audience et un travail consciencieux des intervenants, le show pourrait connaître une suite. La connexion étroite entre la future série et le prochain film de Matt Reeves, The Batman Part II, a également été confirmée.
En effet, le réalisateur a coiffé la casquette de producteur de The Penguin, s’assurant ainsi de la cohérence des événements avec ceux des deux films. Colin Farell a par ailleurs précisé que le premier épisode se déroulerait quelques jours à peine après la fin de The Batman et la mort du criminel Falcone.
Données « Matt-ématiques »
Cette volonté d’interconnexion entre série et film, similaire à celle annoncée récemment par James Gunn et le futur DCU, s’inscrit dans une parenthèse « autorisée » par le nouveau directeur créatif. Peu étonnant, lorsque l’on se souvient du faramineux contrat signé entre Warner et Reeves, adoubé et fort des pleins pouvoirs suite au carton au box-office de « son » Batman avec Robert Pattinson en tête d’affiche. Sa vision devrait donc coexister avec celle de son nouveau « patron », les recettes comptant toujours plus que la direction éditoriale ou créative des studios.
