Comme Google, Samsung veut aussi inciter les possesseurs de montres de sa marque à se laver régulièrement les mains, et propose pour ce faire une application dédiée : Hand Wash.
Google a récemment enrichi Wear OS – via l’application Horloge – d’une fonction incitant les porteurs de montres équipées à se laver les mains régulièrement durant la pandémie de Covid-19, et Samsung a décidé d’en faire de même sur ses montres, tournant elles sous Tizen. Comme tousser à l’intérieur du coude et maintenir une distance d’au moins 1 mètre avec les autres personnes, se laver les mains fait partie des gestes barrières visant à limiter la propagation du virus. Et votre montre Samsung pourra donc désormais vous rappeler de le faire si vous en avez une, qu’il s’agisse d’une Galaxy Watch ou d’une plus ancienne Gear S ou Gear Sport.
Bien se laver les mains avec Hand Wash
Il faudra pour cela télécharger une application dédiée depuis la boutique de votre montre. Baptisée Hand Wash, celle-ci inclut un système de rappel incitant donc à se laver régulièrement les mains, ainsi qu’un chronomètre devant permettre d’assurer l’efficacité du lavage. Samsung l’a réglé sur 25 secondes. C’est moins que les 40 secondes préconisées par Google, mais en ligne avec les 20 secondes que préconise l’Organisation mondiale de la Santé, Samsung expliquant avoir prévu 5 secondes de plus afin de laisser le temps aux utilisateurs d’ouvrir le robinet et d’appliquer du savon, pour rappel indispensable pour un lavage efficace. Il est également rappelé, à la fin de chaque lavage, de se sécher les mains.
Comme sur Wear OS, les rappels s’accompagnent d’un bouton permettant de lancer ledit chronomètre, et Samsung en a prédéfini 8 tout au long de la journée. Un cadran est par ailleurs proposé en complément. Il permet lui aussi de lancer rapidement le chronomètre en cas de lavage spontané, et de l’ajouter au compteur journalier également disponible au sein de Hand Wash. À noter tout de même que si cette application initialement annoncée en Inde semble bien disponible partout dans le monde – elle l’est du moins chez nous -, elle n’est pour l’heure proposée qu’en anglais. Son fonctionnement reste toutefois facile à comprendre.
