Prise en main

Test des écouteurs Skullcandy Push : design et performance au rendez-vous

02 janvier 2020
Par Elisa

Pratiquement toutes les marques d’audio ont commercialisé leurs écouteurs True Wireless ces deux dernières années : Apple et ses Airpods, Beats, JBL, etc. Skullcandy a mis la main à la patte et a sorti ses propres appareils sans fil en commençant par les Indy que j’ai pu tester il n’y a pas longtemps. Aujourd’hui, je teste les Push, une version un peu plus haut de gamme que les Indy tant par le look que par les performances.

Pratiquement toutes les marques d’audio ont commercialisé leurs écouteurs True Wireless ces deux dernières années : Apple et ses Airpods, Beats, JBL, etc. Skullcandy a mis la main à la patte et a sorti ses propres appareils sans fil en commençant par les Indy que j’ai pu tester il n’y a pas longtemps. Aujourd’hui, je teste les Push, une version un peu plus haut de gamme que les Indy tant par le look que par les performances.

Un design très sympa

Premièrement, j’ai bien aimé le coloris vert foncé métallisé des Push de Skullcandy malgré l’aspect plastique du boîtier de chargement. Leur petite taille permet de les glisser partout sans vous encombrer. En termes de prise en main, après les avoir appairés à mon téléphone, je n’ai pas rencontré de problèmes d’utilisation. J’ai juste mis un peu de temps à me familiariser avec les commandes des oreillettes qui diffèrent à droite et à gauche.

skullcandy écouteurs Push

L’ergonomie

Les Push sont des oreillettes intra auriculaires en forme de bourgeon, ils ne sont donc pas très discrets de par leur format. Ils sont également équipés d’une ailette souple « gel FitFin » qui permet un bon maintien dans l’oreille (mon collègue Christian le confirme : après avoir balancé sa tête dans tous les sens, ils restent bien en place).

skullcandy écouteurs Push

Avant toute chose, je tiens à préciser que j’ai de petites oreilles et que ce que j’ai ressenti avec ces écouteurs peut changer d’un individu à un autre. Lors de l’utilisation, j’ai comparé le port des écouteurs avec Christian. Quand il met les écouteurs, ils se logent naturellement dans ses oreilles et la petite ailette se cale toute seule. En ce qui me concerne, je devais caler la petite ailette dans mon cartilage pour que les écouteurs soient bien bloqués et que je puisse profiter à fond de ma musique, faute de quoi je n’avais pas du tout le même rendu sonore. Mais cela impliquait aussi qu’au bout de 30 minutes d’utilisation, les écouteurs commençaient à me gêner.

skullcandy écouteurs Push

Pour ce qui est du bouton présent sur chaque oreillette, il faut un peu de temps pour se familiariser avec les commandes : 5 secondes pour l’alimentation, 3 secondes pour avancer (oreille gauche) ou repasser (droite) une piste, une pression pour la lecture et la pause,  2 pressions pour monter le volume (droite) et pour le baisser (gauche), 7 secondes pour l’appairage Bluetooth… Cela peut être casse-tête.

Pour ce qui est de l’audio, j’ai réellement senti une différence avec les Skullcandy Indy : le rendu sonore des Push était de meilleure qualité et j’ai eu l’impression de davantage profiter de mes musiques qu’avec les Indy.

Question autonomie, comptez jusqu’à 6 heures pour les écouteurs seuls, et le boîtier assure également 6 heures supplémentaires, soit 12 heures au total. Le niveau de batterie est indiqué par 4 témoins lumineux sur le boîtier, et un sur chaque écouteur. Le boîtier est rechargeable via un câble USB-C.

skullcandy écouteurs Push

skullcandy écouteurs Push

Bilan : Si leurs prix diffèrent largement, les Push sont plus performants et un peu plus aboutis que les Skullcandy Indy. Malgré quelques points à améliorer, les Push offrent un bon rapport qualité-prix et ne devraient pas avoir de difficulté à trouver leur public.

Article rédigé par
Elisa
Elisa
Rédactrice high-tech et photo
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