En résumé
C’est sûr, le Nikon Z8, c’est du lourd. Un appareil photo hybride haut de gamme, qui propose une définition presque indécente de 45,7 mégapixels et qui saura sublimer n’importe quel sujet. Extrêmement polyvalent, cet appareil ne souffre d’aucun défaut optique (aberrations, vignettage) majeur et affiche des couleurs très naturelles constituant un terreau fertile pour les photographes professionnels en post production. Mais il n’est pas exempt de défaut. En l’occurrence, les mesures du Labo Fnac illustrent de grosses faiblesses en basse lumière. En cause : un capteur trop peu sensible qui, malgré des ISO capables de monter à 25600, ne sont pas bien armés pour contrer le bruit numérique qui s’invite dans l’image.
Note technique
Les plus et les moins
- La qualité optique à s'en décrocher la machoire
- Des couleurs impeccables
- La très haute définition du capteur
- Capteur trop peu sensible (bruit)
- Prestations en basse lumière
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Objectif(s)
NIKON – NIKKOR-Z-24-120mm-f-4S
Usage
Mesure
Caractéristiques
Conclusion
C’est sûr, le Nikon Z8, c’est du lourd. Un appareil photo hybride haut de gamme, qui propose une définition presque indécente de 45,7 mégapixels et qui saura sublimer n’importe quel sujet. Extrêmement polyvalent, cet appareil ne souffre d’aucun défaut optique (aberrations, vignettage) majeur et affiche des couleurs très naturelles constituant un terreau fertile pour les photographes professionnels en post production. Mais il n’est pas exempt de défaut. En l’occurrence, les mesures du Labo Fnac illustrent de grosses faiblesses en basse lumière. En cause : un capteur trop peu sensible qui, malgré des ISO capables de monter à 25600, ne sont pas bien armés pour contrer le bruit numérique qui s’invite dans l’image.