Test Labo

Test Labo de l’Apple iPhone 7 : des améliorations discrètes, mais bienvenues

30 novembre 2016
Par Laure Renouard
Test Labo de l'Apple iPhone 7 : des améliorations discrètes, mais bienvenues

En résumé

Note LABOFNAC

Séduisant sans faire montre d’une véritable originalité, l’iPhone 7 pèche par une absence de prise de risque. En apparences du moins, puisqu’Apple a le mérite, contestable il est vrai, de proposer un smartphone dépourvu de prise jack, et misant essentiellement sur un son sans fil, avec en bonus une conception étanche.
Que l’on souscrive ou non à ces choix, il faut retenir de ce terminal une prestation haut de gamme et homogène. Son écran brille par sa belle colorimétrie, les performances sont au rendez-vous et, surtout, son appareil photo compte parmi les meilleurs du monde mobile… même sans le double capteur photo que la Pomme a réservé à son iPhone 7 Plus. On restera plus circonspect au rayon de l’audio, puisque les utilisateurs de casques filaires classiques, contraints d’utiliser l’adaptateur Lightning fourni par Cupertino, ne bénéficieront pas de performances optimales. Même combat côté radio, où l’iPhone 7 aurait pu faire mieux. Tout cela chez un smartphone qui, rappelons-le, compte parmi les (très) rares à présenter un format compact, ce qui continue de constituer l’un des atouts maîtres de la gamme iPhone.

Note technique

Les plus et les moins

Les plus
  • Bel écran
  • Excellentes performances
Les moins
  • Design inchangé
  • Absence de prise jack encore contraignante

Détail des sous notes

Réseau et connectivité
Écran
Cette note reflète la qualité globale de l'écran
Autonomie
Plus la note est elevée et plus le smartphone restera allumé sans avoir à être rechargé.
Performance et rapidité
Un smartphone qui exécute le plus rapidement possible toutes sortes de tâches obtiendra un 10/10
Qualité audio
Cette note reflète de la qualité globale du système audio du smartphone
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Note LABOFNAC
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Notre test détaillé

Fleuron de la Pomme et comparse de l’iPhone 7 Plus, l’iPhone 7 vient, sans surprise, titiller les smartphones haut de gamme de ses concurrents habituels, Samsung en tête. L’appareil, au format compact, promet un déluge de puissance, d’autonomie et inaugure, dans l’univers d’Apple, la disparition de la traditionnelle prise jack. L’iPhone 7 est-il à la hauteur de ses prétentions ? Il est passé entre les mains du Labo Fnac, dont voici les conclusions.

Successeur de l’iPhone 6s, l’iPhone 7 lui ressemble comme un frère, la faute à un format identique. Son écran se maintient donc à 4,7 pouces et conserve une définition de 750 x 1344 pixels. Pourtant, quelques-unes de ses caractéristiques ont évolué, à commencer par son SoC, une puce A10 Fusion, toujours adossée à 2 Go de RAM. Apple se montre désormais plus généreux en termes de stockage, déclinant son smartphone en versions 32, 128 (version testée ici) et 256 Go, sans port microSD.

Au rayon des connecteurs, Cupertino fait simple : seul le port Lightning subsiste, la prise jack 3,5mm, habituellement dédiée au son, ayant été délaissée au profit d’une connexion smartphone-casque en Bluetooth. Les adeptes du filaire pourront toutefois utiliser un adaptateur Lightning-jack, fourni avec le smartphone, pour utiliser leur casque préféré. Pour finir, l’iPhone 7 progresse en termes de batterie, avec 1960 mAh au compteur contre 1715 mAh chez son prédécesseur, et bénéficie d’un indice de protection clair : certifié IP67, il peut résister à un court plongeon dans l’eau. Même combat chez son appareil photo, qui conserve une définition de 12 mégapixels, mais gagne un système de stabilisation optique jusqu’alors réservé aux versions “Plus” des iPhone.

L’ergonomie et le design

Vous passez d’un iPhone 6s à un iPhone 7 ? Vous pourrez sans peine conserver la coque qui l’habillait puisqu’Apple ne s’est pas embarrassé en matière d’originalité. La pomme ne change pas d’un iota une équipe qui gagne, et propose un smartphone aux dimensions rigoureusement similaires à celles de son prédécesseur (138,3 x 671 x 7,1 mm) pour un poids légèrement moindre. Sur la balance, il affiche ainsi 138 grammes contre 143 pour son aîné.

iPhone 7

Ce poids plume a beau faire l’impasse sur l’originalité, si l’on excepte son coloris noir de jais – fragile et enclin à marquer les traces de doigts – il n’en reste pas moins une réussite. Confortable grâce à ses tranches arrondies, de taille globalement modeste puisque son écran n’excède pas les 4,7 pouces, cet iPhone 7 séduit sans peine. On pourra toutefois lui reprocher des bordures d’écran un peu larges, qu’Apple n’a pas vraiment fait l’effort de réduire au fil des générations. Les boutons de contrôle conservent leur emplacement, la touche Power restant sur la tranche droite et les boutons de réglage de volume, sur le côté gauche. L’écran, quant à lui, conserve la technologie 3D Touch permettant, lors d’appuis plus prononcés, de déclencher quelques actions spécifiques.

iPhone 7

Quelques nouveautés sont en revanche à noter, notamment au niveau du bouton Home, qui n’est plus mécanique – afin d’éviter les pannes, mais doté de capteurs de pression. Il est affublé d’un système de retour haptique (vibreur) et, passé un court temps d’adaptation, conviendra sans problème, d’autant qu’il parvient assez bien à donner l’illusion que l’on “appuie” dessus. Il embarque évidemment un capteur d’empreintes digitales permettant de déverrouiller le téléphone et de sécuriser les transactions Apple Pay, par exemple.

iPhone 7

Terminons par un point qui intéressera tant les maladroits que les mobinautes utilisant leur appareil en extérieur : l’étanchéité. L’iPhone 7 est certifié IP67, ce qui autorise une immersion jusqu’à un mètre de profondeur. Dans les faits, son prédécesseur, dépourvu toutefois de certification et donc de garantie, résistait correctement à l’eau. Ici, la tâche d’Apple est simplifiée grâce à l’absence de prise jack, remplacée par une simple prise Lightning. C’est en tout cas une bonne nouvelle pour l’utilisateur.

L’écran

L’écran de l’iPhone 7, rappelons-le, présente la même définition que son prédécesseur, l’iPhone 6S. Il affiche ainsi 1334 x 750 pixels sur une dalle IPS de 4,7 pouces, mesurée par le Labo Fnac à 12 cm (4,74 pouces) et présente une résolution de 317 pp. L’appareil d’Apple ne peut donc prétendre à la meilleure note en matière de définition, à l’heure où ses concurrents directs – Galaxy S7 de Samsung, par exemple – proposent des dalles QHD.

S’il n’obtient pas la note maximale en termes de progressivité, se contentant d’une prestation bonne, sans plus, c’est essentiellement parce que l’écran de l’iPhone 7 obtient, la faute à un manque de linéarité dans le passage du noir au blanc, une note de 5 (sur 10) en gamma, tandis que son contraste reste en dessous de smartphones tels que le Galaxy S7, son concurrent direct. Ainsi, sur un test mettant en scène un noir à 5 % de luminosité et permettant de comparer des écrans LCD et AMOLED (dont les pixels noirs sont en réalité éteints), l’iPhone 7 obtient un ratio de 382:5, quand le S7 de Samsung affiche 418:5. Puisqu’il est possible, avec cet écran LCD, de mesurer un contraste plus classique à 1 % de luminosité, on obtient ici 1624:1.

L’iPhone 7 ne brille pas vraiment davantage au rayon de la directivité, c’est-à-dire des angles de vision. Légèrement au-dessus de la moyenne sur ce point, le smartphone a tendance à se montrer moins lumineux lorsque l’on penche son écran. Par exemple, pour 227 candelas lorsqu’il est regardé de face, on relève 156,1 cd/m2 à 15°, 85,3 cd/m2 à 30° et 44,3 cd/m2 à 45°. Son concurrent, le Galaxy S7, parvient à afficher 139 cd/m2 à 35° pour 241 cd/m2 de face.

Vue angulaire (blanc) avec l'iPhone 7

Vue angulaire (blanc)

Vue angulaire (noir) avec l'iPhone 7

Vue angulaire (noir)

Bon sans exceller en contraste ou en directivité, l’iPhone 7 se rattrape clairement en matière de colorimétrie, où il récolte la note maximale. S’il est inédit, chez les smartphones, d’observer des couleurs “parfaites”, c’est-à-dire transcrivant sans déviation les signaux lumineux rouges, verts et bleus qui leur sont envoyés, l’appareil n’en est pas très loin, avec des déviations colorimétriques pratiquement inexistantes (un rouge tirant vers l’orange ou un bleu un peu présent) et imperceptibles à l’œil nu. Aucune dérive réelle n’est à noter, quand nombre de concurrents ont tendance à voir une couleur flancher : en somme, l’iPhone 7 affiche très fidèlement les couleurs de l’image qui lui est envoyée. En revanche, nous n’avons pas pu tester la notion de gamut étendu annoncée par Apple, faute d’images l’exploitant réellement. Retenons un delta U’V’ de 0,007.

Gamut de l'iPhone 7

Gamut de l’iPhone 7

Fidelité des couleurs
9
Contraste et progressivité
6
Directivité
6
Densite des pixels
2

L’interface utilisateur

L’iPhone 7, comme l’iPhone 7 Plus, est l’ambassadeur d’iOS 10, bien que la mise à jour soit disponible sur les versions antérieures des iPhone. Plus qu’une refonte, il s’agit d’une amélioration globalement discrète de la précédente mouture du système d’exploitation, qui gagne notamment en fonctionnalités dans la messagerie. Stickers, GIF et autres textes manuscrits peuvent être envoyés via iMessage, tandis que la saisie multilingue, utile dans l’application, mais aussi lors de la prise de notes, est désormais autorisée. Pour le reste, rappelons que l’assistant vocal Siri, de plus en plus naturel, est compatible avec davantage d’applications tierces, de même que les options conférées par la technologie 3D Touch sont apportées à des applications plus nombreuses. Globalement, les habitués à iOS ne seront pas déroutés par cette mouture aussi efficace que ses évolutions sont discrètes.

interface iPhone 7

Les performances

Comme chaque année, Apple a inauguré, chez son iPhone 7, une nouvelle puce : le chipset quadricœur A10 Fusion. Une puce dont nous avons évalué les performances du CPU par le biais d’un test maison, en JavaScript. Combien de petits éléments l’appareil est-il capable d’afficher simultanément avant de peiner ou, si l’on prend le problème à l’envers, combien d’images par seconde affiche-t-il selon qu’on sollicite peu ou beaucoup son CPU ? À ce petit jeu, l’iPhone 7 s’inscrit parmi les smartphones les plus performants du moment. À très faible niveau de sollicitation, il affiche 28 images par seconde, soit un temps d’exécution de 36,2 ms. Il descend à 20 fps (50,6 ms) pour des usages standard, à 14 fps pour des processus complexes (69,2 ms) et ne descend pas sous les 11 fps (88 ms) lors d’usages gourmands en ressources. Le Galaxy S7 tombe à 5 images par seconde et le HTC 10… à 2 images par seconde.

Pour évaluer les performances d’un smartphone, il importe également de vérifier celles de son GPU. En l’absence de protocole satisfaisant d’un point de vue scientifique, nous vous livrons à titre indicatif les résultats obtenus avec les principaux benchmarks du marché. Il obtient ainsi, pour 172 236 points sur AnTuTu, 17 1356 points à son test 3D. Avec Basemark Metal, il obtient 1550 points tandis que sur Basemark 2.0, il enregistre 3261 points. Terminons avec 3DMark, avec lequel il ne peut afficher de résultats avec les tests Ice Storm et Ice Storm Extreme, mais obtient 2668 en Sling Shot et 2119 en Sling Shot Extreme.

La photo et la vidéo

S’il est un domaine dans lequel l’iPhone 7 s’illustre, c’est celui de la photographie. Le smartphone, doté d’un capteur de 1/3 pouce affiche une définition de 12 mégapixels, et son optique de 28 mm présente une ouverture de f/1.8. Cet appareil photo bénéficie en outre d’un système de stabilisation optique et d’un flash à double LED. Et côté définition, tout va bien : très efficace avec notre mire dédiée, il a obtenu une très bonne note, grâce à un très bon niveau de détail, légèrement inférieur toutefois à celui de l’iPhone 7 Plus. Il affiche ainsi 1344 LP/PH contre 1425 chez iPhone 7 Plus, alors que 1500 lignes/h constituent un excellent résultat.

Mire de résolution de l'iPhone 7 d'Apple

Mire de résolution de l’iPhone 7

Son optique est également convaincante et récolte un 10/10. Un très bon niveau que l’iPhone 7 doit à l’absence de vignettage et d’aberrations chromatiques observées sur les clichés qu’il produit, ainsi que sur une distorsion très faible (il obtient 8,6/10). Le smartphone se comporte même un peu mieux que l’iPhone 7 Plus, chez lequel un très léger vignettage peut être aperçu, assombrissant les angles des photos.

Si le rendu de détails est bon, encore faut-il que les couleurs soient restituées avec justesse. L’iPhone 7 respecte correctement ce point, et récolte une note de 6,6/10, avec une balance des blancs meilleure que la colorimétrie pure et dure (note de 8,4/10) : si la balance des blancs est pénible lorsque la couleur dominante de la scène est bleue (deltaE de 7,3), lorsqu’elle est vert clair, le deltaE tombe à 0 et en jaune clair ou foncé, il est également très bas.

Résultat de balance des blancs avec l'iPhone 7 d'Apple

Résultat de balance des blancs avec l’iPhone 7

La colorimétrie est en léger retrait par rapport à cette balance des blancs, et se contente d’un 4,9/10. De jour, tout va bien, et le deltaE reste à 4,8, pour des couleurs restituées très justement. Il peine nettement plus à la lumière dite “fluo”, c’est-à-dire froide, avec un deltaE de 9,1. À la lumière tungstène, plus chaude, il obtient un 5/10 : comprenez qu’en extérieur, l’iPhone 7 est parfaitement à l’aise, tandis qu’en intérieur, il sera un peu plus en difficulté. Toutefois, pour comparaison, un Galaxy S7 edge se contente d’un petit 4/10 dans le cas de clichés pris à la lumière de type tungstène.

Mire de colorimétrie Color Checher de l'iPhone 7

Mire de colorimétrie Color Checker de l’iPhone 7 : les carrés les plus grands indiquent la couleur de référence, le petit carré, la couleur affichée par le smartphone.

Et les photos de nuit, dans tout ça ? Sans peiner davantage que les smartphones haut de gamme du moment, l’iPhone 7 reste dans la moyenne, souffrant d’un peu de bruit et d’un temps d’exposition allongé, ce qui augmente le risque d’obtenir des clichés flous. Sa sensibilité, un peu meilleure que celle de l’iPhone 7 Plus, lui permet de limiter le bruit (30,98 dB en EV6, c’est-à-dire en environnement sombre), pour un temps d’exposition de 90 millisecondes. La durée d’exposition sera plus courte (76 ms) chez les Galaxy S7 et S7 edge, à titre de comparaison.

Terminons par le flash, composé de LED à deux tons chez l’iPhone 7. Il a tendance à éclairer essentiellement le centre de la photographie, avec 61 en L au centre, mais seulement 5 à 6 en L sur les côtés. On obtient donc, à un mètre de distance, une zone centrale surexposée quand le pourtour de l’image est sombre. En revanche, ce flash est précis, même utilisé de loin, conservant 63 en L à 6 mètres de distance.

Notez que l’iPhone 7 filme en 4K (3840 x 2160 pixels) à 30 fps, dans la moyenne des smartphones premium.

Le rendu audio

Avant d’évoquer la qualité sonore livrée par l’iPhone 7, il faut rappeler un point essentiel : comme quelques rares smartphones du marché, l’iPhone 7 est dépourvu de la très traditionnelle prise jack 3,5 mm. Pour écouter de la musique en filaire, il faut donc utiliser des écouteurs Lightning ou s’appuyer sur des écouteurs standard sur lesquels on placera l’adaptateur fourni dans son boîtier. Dans cette configuration (vérification au niveau de la sortie casque avec adaptateur jack), le signal électrique est détérioré. On remarque un peu de distorsion et un rapport signal/bruit médiocre. Heureusement, la linéarité reste bonne, de même que la diaphonie. Notez un niveau acoustique moyen de 90,4 dB ainsi qu’un niveau de sortie maximal mesuré à 117,5 mV.

Toujours au rayon du casque, les écouteurs fournis avec l’iPhone S7 assurent une bonne réponse en fréquence dans les basses, les médiums et les aigus, de 50 Hz à 8 KHz : les basses ne sont pas surreprésentées et les aigus sont bien présents.

La sortie du haut-parleur est plus problématique chez l’iPhone 7 que chez l’iPhone 7 Plus, la faute à un format plus compact qui limite le volume d’air déplacé. Le smartphone se situe toutefois dans la moyenne, avec un résultat de 6/10 en bande passante. N’en attendez pas des miracles, car si les aigus subsistent jusqu’à environ 8 KHz, les basses disparaissent sous les 400 Hz, et les médiums-aigus sont sur-représentés. Ce haut-parleur, assez peu puissant, présente un niveau maximum à 10 % de distorsion de 61 dB.

Réponse en fréquences des Haut-Parleurs
©Labo Fnac
Qualité audio
6.6

La qualité de réception (performances radio)

L’iPhone 7 est compatible avec la 4G de catégorie 9 et exploite les bandes de fréquence 800, 1800, 2600 MHz ainsi que la toute récente bande 28, en 700 MHz. Un bon point à noter.

Côté directivité, en GSM et 3G, l’iPhone 7 parvient à conserver un signal stable. Sa sensibilité est également correcte, il devrait donc se montrer performant en ville comme dans les zones moins couvertes.

Communication
6.6

L’autonomie

L’iPhone 7 est, malgré la discrétion d’Apple sur le sujet, équipé d’une batterie de 1960 mAh. Une capacité certes inférieure à la moyenne du marché, mais qui n’est pas nécessairement synonyme d’autonomie en berne. Nous l’avons évaluée au moyen de notre protocole maison. Il nous a permis d’estimer l’autonomie du smartphone à 7h16, contre 7h18 pour l’iPhone 7 Plus, quand un terminal tel que le Samsung Galaxy A5 2016 plafonne à 5h40 en moyenne, ou le LG G5 à environ 6 heures. À l’usage, l’iPhone 7 tient sans problème une journée loin de son chargeur.

Notez que nous travaillons actuellement à l’élaboration d’un protocole de test d’autonomie plus complet, que nous espérons mettre en œuvre très prochainement.

Autonomie
4
Temps de charge
02:28:30

Conclusion

Note LABOFNAC

Séduisant sans faire montre d’une véritable originalité, l’iPhone 7 pèche par une absence de prise de risque. En apparences du moins, puisqu’Apple a le mérite, contestable il est vrai, de proposer un smartphone dépourvu de prise jack, et misant essentiellement sur un son sans fil, avec en bonus une conception étanche.
Que l’on souscrive ou non à ces choix, il faut retenir de ce terminal une prestation haut de gamme et homogène. Son écran brille par sa belle colorimétrie, les performances sont au rendez-vous et, surtout, son appareil photo compte parmi les meilleurs du monde mobile… même sans le double capteur photo que la Pomme a réservé à son iPhone 7 Plus. On restera plus circonspect au rayon de l’audio, puisque les utilisateurs de casques filaires classiques, contraints d’utiliser l’adaptateur Lightning fourni par Cupertino, ne bénéficieront pas de performances optimales. Même combat côté radio, où l’iPhone 7 aurait pu faire mieux. Tout cela chez un smartphone qui, rappelons-le, compte parmi les (très) rares à présenter un format compact, ce qui continue de constituer l’un des atouts maîtres de la gamme iPhone.

Note technique

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Réseau et connectivité
Écran
Autonomie
Performance et rapidité
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Laure Renouard
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