L’exposition est de retour du 9 au 12 novembre à Grand Palais Éphémère et réunit de nombreux artistes, galeries et éditeurs pour mettre en avant la photographie sous toutes ses formes.
1 L’émergence de nouveaux talents
À chaque nouvelle édition, Paris Photo permet aux jeunes artistes de demain de se faire un nom, voire de faire sensation. Cette année, l’édition se divise en trois catégories, entre le secteur principal (qui regroupe 133 galeries), le secteur des éditeurs (consacré aux ouvrages photographiques) et le secteur Curiosa, qui met à l’honneur 17 nouveaux artistes, participant pour la première fois à Paris Photo.
Se faisant, l’exposition offre une même place aux habitués de la profession qu’aux voix nouvelles et permet d’apprécier l’évolution des techniques et les nouvelles façons de faire.
2 L’utilisation de nouvelles technologies
Nouveauté cette année pour Paris Photo : la création d’un secteur digital, permettant aux artistes d’utiliser les nouvelles technologies pour mettre en avant leur art. Cet espace questionne l’apport des nouvelles technologies autant dans la façon de créer l’art que de l’utiliser dans la vie courante.
Entre les photos imprimées et les différents écrans de projections, Paris Photo permet de découvrir les œuvres de façon très différente et de questionner autant sur le fond que sur la forme. Actualité oblige, l’intelligence artificielle est également au cœur de la visite…
3 La beauté de l’éphémère
C’est le postulat, Paris Photo est une exposition éphémère (à Grand Palais Éphémère, justement), créée pour durer quelques jours avant de disparaître. Le concept même donne un sentiment d’urgence et une nécessité de s’intéresser réellement aux œuvres.
Avec une quantité aussi importante de photographies – dans des genres et des styles très variés –, Paris Photo se découvre et se redécouvre différemment, même sur un laps de temps très court, d’un jour sur l’autre…
