Avant sa sortie imminente le 14 juin prochain dans les salles, le nouveau film DC Comics nous en met plein la vue. Prometteur.
Avec sa dernière bande-annonce avant la course officielle vers le box-office, la dernière production DC Comics a décidé de sortir le grand jeu. Une mise en jambes très efficace, donc, qui évoque tour à tour les divers enjeux majeurs du long métrage, dont les premiers retours des projections privées auprès des professionnels avaient été plus que favorables. Cette bande-annonce ultime de The Flash ne fait que donner du crédit à ces avis, avec son mélange savamment dosé entre action, émotion, humour et grand spectacle. Et le tout agrémenté d’une jolie distribution.
Un casting sous les flashs
Outre Ezra Miller dans le rôle-titre (peut-être pour la dernière fois), on retrouve comme prévu une kyrielle de stars hollywoodiennes. Un incroyable Michael Keaton et un flegmatique Ben Affleck en improbable duo de Batman, mais aussi une Sasha Calle en Supergirl, cousine de Superman très énergique, forment une galerie de personnages plus qu’intéressante.
Il ne faudrait surtout pas oublier l’incroyable Michael Shannon (Take Shelter, 99 Homes, Nocturnal Animals) en Général Zod, antagoniste plus qu’inquiétant. Un casting à la hauteur des ambitions du film, qui se veut une sorte d’Avengers à la sauce DC. Les héros y collaborent autour d’un Flash capable de remonter le temps, un pouvoir à double tranchant.
Un temps pour tout
Lorsqu’il évoque les infinies possibilités de cette faculté auprès de Batman (version Affleck), Flash semble persuadé de pouvoir n’en faire que du bon. Sauver sa mère ou les parents de Bruce Wayne de leurs destins tragiques, par exemple. Pourtant, le milliardaire le met en garde sur les possibles catastrophes qui découleraient de ces possibilités.
Entre multivers à la fois dimensionnel et temporel, le trailer ne nous perd pourtant pas en conjectures complexes, gardant en tête son rôle de divertissement. Action à grand spectacle, touches d’humour et d’émotion forment un trio efficace. Seule ombre au tableau : des effets spéciaux faiblards par instants. Peut-être un simple accroc sur le costume du prodigue tant attendu pour DC Comics ?