Anthony Starr, le détestable Homelander, a partagé son ressenti quant à l’une des scènes tournées pour la prochaine saison de la série.
Ayant pris les héros de Marvel à revers pour mieux leur damer le pion, les antihéros de The Boys ont joué à fond la carte de la transgression durant leurs trois premières saisons. Scènes ultra-gores, orgies de superpouvoirs, ou tout simplement moments moralement répugnants ont rythmé les aventures des membres des Sept, de Billy Butcher, et de sa bande. Le compte Twitter officiel s’amuse très souvent de ce caractère outrancier, notamment en rebondissant sur l’actualité des films de super héros traditionnels. Il a par exemple annoncé que Les Gardiens de la Galaxie vol. 3 contiendrait le premier « f*ck » d’une production Marvel – alors qu’il fait quasiment office de ponctuation dans leur show.
Promo en roue libre
Récemment, le compte officiel a relayé une vidéo confirmant la fin de tournage de la saison 4. Eric Kirpke, showrunner de l’adaptation du comics de Garth Ennis, y apparaît très ému de ce nouveau voyage en compagnie de ses acteurs et équipes techniques. Depuis lors, comédiens comme community managers ont lancé une vraie campagne de teasing, parfois involontaire. Sans rien dévoiler des secrets du scénario à venir, cette dernière fait monter l’attente des fans en flèche. Visage sanguinolent, photos du très attendu Dean Jeffrey Morgan (The Walking Dead)…. La liste est presque interminable.
Déjà une scène culte ?
Pourtant, c’est sur le très sérieux site Variety que la plus grosse bombe a été lâchée, par Anthony Starr (Homelander) en personne. L’acteur a en effet déclaré que l’une des scènes de la saison 4 matérialisait parfaitement l’idée d’un plafond toujours plus haut pour The Boys dès lors qu’il s’agit de choquer. Face à un autre comédien, il se serait ainsi exclamé : « Qu’est-ce qu’on fait ? Je ne peux pas croire ça ! J’aurais pu faire autre chose de ma vie, mais me voilà en train de faire ça ? ». À des années-lumière des univers proprets de leurs concurrents, si tant est qu’on puisse encore les nommer ainsi, les Boys vont encore une fois explorer « les frontières du bon goût », pour notre plus grand plaisir.