Décryptage

Doom Eternal : notre preview du jeu de Bethesda Softworks

03 mars 2020
Par Eva Trabelsi

À l’occasion de la sortie de Doom Eternal en mars 2020, revenons sur la franchise Doom, un des plus gros succès du genre FPS à ce jour. Initialement édité par id Software, c’est Bethesda Softworks qui reprend la licence avec DOOM Eternal. Mais de quoi ça parle, Doom ? À quels types de joueurs le jeu s’adresse ? Et qu’apporte Doom Eternal dans tout ça ? On vous en parle.

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Notre preview de DOOM Eternal !

A l’occasion de la sortie de DOOM Eternal, le prochain jeu de tir d’id Software qui arrive chez nous le 20 mars 2020, nous avons eu l’occasion d’avoir une petite preview du jeu ! Bethesda nous a accueilli chaleureusement pour nous présenter le successeur de DOOM 2016, qui a déjà fait le bonheur de nombreux joueurs.

Nous vous avons préparé une petite vidéo retraçant les éléments intéressants qu’on retrouve dans le jeu. Et pour ceux qui n’ont jamais joué à DOOM, on préfère vous prévenir : c’est du lourd, et ce n’est pas à mettre entre toutes les mains !

VOIR LA VIDEO !

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Un scénario à DOOM, si si !

DOOM Eternal s’offre un mode Histoire, avec un scénario un peu plus poussé que d’habitude. Une jolie cinématique introduit le jeu, et nous retrouvons alors notre vaisseau. Celui-ci nous servira de hub entre chaque mission : on peut y améliorer nos armes ou en créer de nouvelles, ainsi que créer des portails pour aller au niveau suivant.

Au niveau de l’histoire, on reste sur du connu dans l’univers DOOM, avec le bien contre le mal : Slayer est de retour sur Terre vingt-cinq ans plus tard, pour sauver les humains des démons. Ville américaine brûlée, stations de métro en ruines, avions encastrés dans des immeubles en ville… la vie humaine est devenue misérable, et c’est à notre héros d’y remédier. 

On se retrouve donc avec plusieurs cadres : la Terre, Phobos, ou l’Enfer. Ce qui n’est pas pour nous déplaire, car cela varie un peu l’identité visuelle du jeu et ses multiples tons rouges. 

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Délicieusement cauchemardesque

Dès le début du jeu, plusieurs modes de difficulté du jeu sont proposés. Que vous soyez en mode Ultraviolence (difficile) ou en mode Cauchemar (très difficile), le niveau est très bien dosé. Le jeu se différencie de DOOM 2016, on sent qu’il veut en faire plus. Double-dashs, double-sauts, déplacements variés… Il faut constamment être en mouvement !

Pour récupérer de la vie, vous devez faire des glory kill (achever un ennemi devenu faible) ; pour se ré-approvisionner en munitions, vous sortez la tronçonneuse… Petite nouveauté, on peut se servir du lance-flammes pour embraser un monstre et ainsi le faire lâcher des points d’armure. Il est également possible d’activer un ralenti qui vous permet de réajuster votre visée.

Face à certains monstres spéciaux, il vous faudra viser des zones spécifiques pour affaiblir l’ennemi, comme par exemple arracher des tourelles à l’Araignée pour lui retirer ses capacités. Toute une stratégie à laquelle vous devez réfléchir rapidement, car les autres démons ne sont jamais très loin !

De plus, DOOM Eternal se veut bien plus aérien que son prédécesseur : vous bougez beaucoup plus dans les airs, certaines phases vous imposent de grimper ou encore de vous accrocher à des barres ou murs d’escalade pour avancer… Pour certains, ça peut casser un peu le rythme, mais voyez le côté positif, ça permet de se « reposer » entre deux phases de combat.

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Une direction artistique et sonore retravaillée

Après 2 heures de test, on peut le dire : DOOM Eternal est le prolongement logique de DOOM 2016, mais avec des améliorations techniques. Visuellement, le jeu est très beau et tellement réaliste qu’il m’est arrivée d’être prise de tremblement en jouant tant c’est trash. On peut également interagir avec l’environnement, par exemple en tirant sur certains éléments lumineux pour provoquer des explosions. Le jeu fait bien plus « arcade », on s’en rend compte avec les bonus ramassés qui sont très colorés ; ou encore dans le menu principal avec ses couleurs flashys violettes/bleues

Au niveau des sons, on retrouve des musiques de DOOM 2016 pour le bonheur des nostalgiques, mais pas que… Quand on fait un glory kill, on peut par exemple entendre des sons qui font un peu « cartoon ». De quoi dépayser… ou amuser.

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Deux modes multijoueurs

Bien que l’on n’ait pas pu tester les modes multijoueurs, ces derniers sont bien prévus. On retrouve le Mode Invasion qui mêle le mode solo et multijoueur. En effet, il permet à n’importe quel joueur de contrôler les démons et d’envahir votre campagne ! Vous pouvez également rejoindre le côté démoniaque et faire équipe avec des amis pour envahir les campagnes des autres joueurs.

Le BattleMode permet quant à lui de fusionner l’action rapide de DOOM et le côté stratégique. En effet, il offre la possibilité de jouer à trois : un des joueurs incarne le DOOM Slayer, avec toutes ses armes et ses capacités. Les deux autres joueurs contrôlent les démons et sont de mèche pour tuer le DOOM Slayer… Attention, si le DOOM Slayer parvient à tuer un des deux démons, il n’a que 20 secondes pour tuer le second et remporter la partie ! S’il n’y arrive pas, le premier démon revient avec sa santé à moitié recouverte… De quoi pimenter la partie !

 On a aimé !                   

 On a moins aimé

– Le fast-FPS comme on l’aime ! – Les phases de plateformes qui cassent le rythme
– La direction artistique, c’est beau et plus coloré – Les sons un peu « cartoon », dépaysants quand on a joué à DOOM 2016
– La musique rythmée et épique  
– Le côté stratégique pour venir à bout de certains monstres  

DOOM Eternal est disponible  !

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Article rédigé par
Eva Trabelsi
Eva Trabelsi
Rédactrice jeux vidéo
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