Le 1er mars prochain, l’académicien sort simultanément chez Robert Laffont deux livres touchant à la mondialisation : Désir de villes et Dernières nouvelles du monde. L’occasion de réfléchir sur les mutations de la vie moderne.
Écrivain prolifique
Avec Dernières nouvelles du monde et Désir de villes, Erik Orsenna prouve, une fois encore, qu’il est un infatigable observateur de notre société. Nommé ambassadeur de la lecture par la ministre de la Culture en juin 2017, le Parisien de naissance prend toujours le temps d’écrire deux heures par jour. Après une trentaine de livres écrits, dont L’Exposition coloniale, prix Goncourt 1988, l’écrivain se concentre ici sur les grandes mutations liées à la mondialisation.
Villes d’aujourd’hui
Dans Désir de villes, il a décidé de travailler avec Nicolas Gilsoul pour évoquer ce qui fait le sel des grandes agglomérations mondiales. Les deux auteurs soulignent que plus de 50 villes dans le monde regroupent au minimum 10 millions d’habitants. Pourquoi une telle concentration alors que bon nombre de citoyens rêvent à voix haute de campagne et de quiétude ? Ce petit précis sur la mondialisation offre un regard pertinent sur deux cents villes d’aujourd’hui, dont trente françaises.