Un livre sur les trous, c’est original, vous ne trouvez pas ? Des trous, il y en a partout dans cet ouvrage, même sur la couverture. Petites bulles, cercles, ovales… pas une page qui ne soit perforée.
Monsieur Trou nous présente son extraordinaire collection dans une interview exclusive : « il y a mille types de trous, de toutes les formes, de toutes les tailles, et surtout de différentes natures… »
Un livre sur les trous, c’est original, vous ne trouvez pas ?
Des trous, il y en a partout, même sur la couverture. Petites bulles, cercles, ovales… pas une page qui ne soit perforée.
Monsieur Trou nous présente son extraordinaire collection dans une interview exclusive : « il y a mille types de trous, de toutes les formes, de toutes les tailles, et surtout de différentes natures… »
L’ouvrage est composé de 6 chapitres :
– la foire aux trous
– les trous de la Terre
– les trous des animaux
– les trous du corps
– les trous fabriqués
– les trous de la langue
L’auteur nous invite à découvrir le monde sous cet angle particulier, nous faisant ainsi prendre conscience de l’omniprésence des trous : quel que soit le domaine abordé, les exemples abondent.
Dans la nature : grotte, fosse, abîme, gouffre, cavité, cratère, crevasse, terrier, termitière…
Dans l’espace : trou noir, trou d’air…
Dans l’art : pièce percée du VIIe siècle, chaise percée du XVIIIe siècle…
Dans le jeu : billard, bowling, bilboquet, golf…
Dans la nourriture : donut, kouglof, calamar, bretzel, emmental, zlabia…
Dans les objets du quotidien : passoire, salière, tirelire…
Dans la langue française : expressions (« faire son trou », « ne pas avoir les yeux en face des trous »), jeux de mots…
En littérature : Bilbo le Hobbit, Voyage au centre de la Terre, Le Poinçonneur des Lilas…
En musique : instruments à vent, à cordes…
En architecture : gargouille, œil-de-bœuf, meurtrière…
Bref, Le livre des trous fourmille d’informations et d’anecdotes sur des sujets divers. On apprend notamment que l’homme est capable de percevoir 10 000 odeurs différentes et que le trou de la guitare s’appelle une rosace.
Les explications sont claires, les illustrations variées (dessins humoristiques, schéma sur les volcans, photographies impressionnantes de paysages…).
Ce documentaire à la fois ludique et pédagogique a obtenu plusieurs récompenses, dont le prix Sorcières 2008 dans sa catégorie.