Ce petit parmi les grands revient le 19 juin le temps d’une aventure cinématographique de presque deux heures. Retour sur un détective haut comme trois pommes qui ne craint personne !
Ce n’est pas tous les jours qu’une série animée parvient à traverser les décennies en conservant sa fraîcheur initiale et en gardant sa capacité à captiver de nouvelles audiences. Ce manga créé par Gosho Aoyama en 1994 fait partie de ces œuvres emblématiques. Il faut dire qu’en dépit du passage des années, le détective Conan ne prend pas la moindre ride. Mêlant habilement intrigue policière, mystère et un brin de nostalgie pour les classiques de la littérature policière (Agatha Christie, Maurice Leblanc et, bien évidemment, l’œuvre de Sir Arthur Conan Doyle), cette longue saga continue à fasciner petits et grands avec la même finesse. Et le film qui sort cette semaine ne déroge pas à cette règle !
Qui est le plus sidérant ?
L’intrigue de Détective Conan s’articule autour de Shinichi Kudo, un brillant détective lycéen dont la vie bascule le jour où il est empoisonné par une mystérieuse drogue. Revenu à l’âge de 7 ans, il se fait passer pour le jeune Conan Edogawa pour cacher sa véritable identité et continuer à résoudre des affaires criminelles tout en cherchant à démasquer ceux qui l’ont transformé.
Mais les enquêtes au cœur de l’intrigue ne sont pas la seule qualité de la série. La dualité entre enfant et adulte est l’une des thématiques principales de Détective Conan, ce qui permet d’explorer des réflexions plus profondes sur la perte de l’innocence et la nature de la justice.
L’Étoile à un million de dollars se focalise sur l’un des personnages préférés des fans de la série : le Kid Cat Burglar. Ce gentleman cambrioleur laisse sa carte de visite à la façon de son modèle : notre Arsène Lupin national. Lorsque l’une d’entre elles est retrouvée sur un cadavre tailladé d’une croix sur la poitrine, Conan se retrouve embarqué dans une véritable chasse au trésor durant laquelle il devra affronter un marchand d’armes particulièrement redoutable surnommé « le vendeur de mort ». Rendez-vous mercredi prochain dans les salles obscures pour voir si le petit détective s’en sortira toujours gagnant !
