Non sans ironie, l’Amazone arrive sur Netflix, forte de ses pouvoirs divins, mais auréolée d’un parfum de scandale. On vous dit tout.
Suite à l’immense succès en salles de Wonder Woman (2017), Warner Bros n’a pas mis bien longtemps pour décider de la suite des aventures de Diana Prince, son héroïne. L’actrice Gal Gadot et la réalisatrice Patty Jenkins voyaient alors un avenir radieux se dessiner devant elles.
Cependant, l’accueil plus mitigé de cette suite et l’arrivée d’un nouvel architecte de l’univers DC Comics, en la personne de James Gunn, ont contrarié leurs plans. Récemment, un rayon d’espoir a malgré tout ravivé les chances de Gadot. Reste que Netflix donne ici une bonne occasion de se faire un avis sur un film plutôt controversé.
1 Une cascadeuse en herbe
La jeune comédienne britannique choisie pour interpréter le rôle de Diana Prince enfant, Lilly Aspell, a également été capable de réaliser ses propres cascades durant le tournage. En effet, elle a été jugée par la réalisatrice Patty Jenkins plus à même d’effectuer ces prouesses que les doublures prévues. Depuis, elle a tourné avec Liam Neeson dans Retribution, mais il y a fort à parier que, dans sa future carrière, son sens de l’implication lui vaille des rôles majeurs.
2 La culbute de Gal Gadot
L’actrice israélo-américaine révélée par la série de films Fast & Furious a connu un sacré coup d’accélérateur du côté de son salaire. En effet, pour le tout premier film sorti en 2017, la comédienne n’avait empoché « que » 300 000 dollars.
Pour Wonder Woman 1984, elle a récolté quelque 11 millions de dollars. L’immense succès du film précédent au box-office, qui a engrangé plus de 820 millions de dollars (un peu à la surprise générale), a eu un impact évident sur son contrat et a fait d’elle l’une des actrices les plus « bankable » d’Hollywood.
3 Une scène très polémique
Si Wonder Woman 1984 n’a pas connu le même succès que son prédécesseur, les critiques s’opposent parfois sur les raisons de cette contre-performance. La durée du film et les intrigues trop nébuleuses auraient expliqué en partie cet échec. Cependant, une scène a aussi fait couler beaucoup d’encre.
Dans celle-ci, Diana ramène à la vie son amour défunt, Steve, dans la peau d’un quidam, avec lequel elle a des relations sexuelles. Une scène vivement critiquée, posant la question du consentement, que la réalisatrice a défendu avec les codes du « body swap », propres à certains films tels que le Big de Tom Hanks.
