En résumé
La Klipsch The Three II est l’une des enceintes les plus séduisantes qui soit. Son design rétro compte parmi les plus originaux aujourd’hui, avec une finition soignée. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil aux éléments en bois véritable, ou à ses commutateurs en métal qui sont associés à des commandes tactiles. Large de 35 cm environ et haute de 17,7 cm, la Klipsch The Three II est donc une enceinte qui s’admire autant qu’elle s’écoute, et qui peut faire partie intégrante de la décoration. Outre la connexion Bluetooth, elle permet également d’écouter de la musique à partir d’une source USB, ou en branchant un appareil audio sur la prise analogique de 3,5 mm. Sans oublier le pré ampli phono pour brancher une platine vinyle. Mais aussi séduisante soit-elle, la Klipsch The Three II n’a pas laissé une impression durable au Labo Fnac. La faute à une bande passante qui manque de linéarité. À 0°, les tests ont montré une présence bien marquée des suraigus à partir de 8 kHz jusqu’à 16 KHz. Graves et médiums sont heureusement bien présents et la distorsion est maitrisée. Enfin, l’enceinte affiche une directivité marquée tant dans les aigus que dans les médiums, mais aussi dans les graves étonnamment. Si les résultats sont corrects à 0° et 30°, la bande passante affiche creux et bosses à différentes fréquences à 45°. Autant dire qu’on en attendait plus d’une si belle enceinte Bluetooth.
Note technique
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Réponse en fréquences
Puissance sonore
Autonomie
Connectiques et fonctionnalités
Dimensions & poids
Conclusion
La Klipsch The Three II est l’une des enceintes les plus séduisantes qui soit. Son design rétro compte parmi les plus originaux aujourd’hui, avec une finition soignée. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil aux éléments en bois véritable, ou à ses commutateurs en métal qui sont associés à des commandes tactiles. Large de 35 cm environ et haute de 17,7 cm, la Klipsch The Three II est donc une enceinte qui s’admire autant qu’elle s’écoute, et qui peut faire partie intégrante de la décoration. Outre la connexion Bluetooth, elle permet également d’écouter de la musique à partir d’une source USB, ou en branchant un appareil audio sur la prise analogique de 3,5 mm. Sans oublier le pré ampli phono pour brancher une platine vinyle. Mais aussi séduisante soit-elle, la Klipsch The Three II n’a pas laissé une impression durable au Labo Fnac. La faute à une bande passante qui manque de linéarité. À 0°, les tests ont montré une présence bien marquée des suraigus à partir de 8 kHz jusqu’à 16 KHz. Graves et médiums sont heureusement bien présents et la distorsion est maitrisée. Enfin, l’enceinte affiche une directivité marquée tant dans les aigus que dans les médiums, mais aussi dans les graves étonnamment. Si les résultats sont corrects à 0° et 30°, la bande passante affiche creux et bosses à différentes fréquences à 45°. Autant dire qu’on en attendait plus d’une si belle enceinte Bluetooth.