En résumé
Comme nombre de téléviseurs LED de milieu de gamme, ce LG 55UR81 n’a aucun mal à proposer une image nette et une connectivité dont on ne se passe plus de nos jours. Toutefois, il faut évidemment rester conscients des compromis que l’on fait en optant pour un téléviseur à moins de 600€. Commençons néanmoins par le (très) positif : l’échelle de gris jouit d’une progressivité rare à ce niveau de prix. Quel dommage que cet atout ne se conjugue pas avec un contraste impeccable. Forcément, la technologie LED a encore ses limites sur ce point. Partant de là, il faut également alerter sur la toute relative uniformité de l’écran, qui perd énormément en saturation dans les angles. Le plus triste frappera peut-être les cinéphiles, qui n’auront pas la certitude de profiter de leurs contenus favoris dans les meilleures conditions à cause d’une colorimétrie hésitante, et surtout d’un gamut DCI-P3 couvert partiellement.
Note technique
Les plus et les moins
- Abordable et de bonne taille
- La progressivité des gris
- L'uniformité de la luminosité dans les angles
- Les couleurs manques de richesse (surtout dans les angles)
- On attend un meilleur contraste
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Général
Contraste
* Les écrans OLED n’affiche aucune lumière dans le noir, donc aucun taux de contraste n’est calculable.
Progressivité
Directivité
Colorimétrie
Uniformité
Connectiques
Fonctionnalités
Consommation
Conclusion
Comme nombre de téléviseurs LED de milieu de gamme, ce LG 55UR81 n’a aucun mal à proposer une image nette et une connectivité dont on ne se passe plus de nos jours. Toutefois, il faut évidemment rester conscients des compromis que l’on fait en optant pour un téléviseur à moins de 600€. Commençons néanmoins par le (très) positif : l’échelle de gris jouit d’une progressivité rare à ce niveau de prix. Quel dommage que cet atout ne se conjugue pas avec un contraste impeccable. Forcément, la technologie LED a encore ses limites sur ce point. Partant de là, il faut également alerter sur la toute relative uniformité de l’écran, qui perd énormément en saturation dans les angles. Le plus triste frappera peut-être les cinéphiles, qui n’auront pas la certitude de profiter de leurs contenus favoris dans les meilleures conditions à cause d’une colorimétrie hésitante, et surtout d’un gamut DCI-P3 couvert partiellement.