La série teenage s’apprête à boucler sa seconde saison le 28 novembre, et déjà une question agite les fans : l’histoire continuera-t-elle ? Tour d’horizon des informations confirmées à ce jour concernant la suite.
Ruby et James, James et Ruby. Les yeux des amateurs de teen dramas sont braqués sur l’arrivée du sixième et dernier épisode de la deuxième saison de Maxton Hall, le 28 novembre. Après Nous les menteurs, Prime Video tient un nouveau phénomène mondial. Adaptée de la trilogie de Mona Kasten, la série suit une règle immuable : un tome, une saison. La première pour Sauve-moi, la deuxième pour Sauve-toi. Et pour tous ceux qui s’interrogent encore : oui, une troisième saison verra bien le jour, destinée à adapter Sauve-nous et à livrer la conclusion du récit.
Un ultime volet déjà écrit dans les romans
Sans révéler les rebondissements, le troisième tome marque une nouvelle étape cruciale après le cliffhanger du second livre. Il s’attarde sur l’avenir de Ruby et James, mais pas seulement : l’intrigue accorde également une place déterminante aux trajectoires des personnages secondaires, notamment Lydia et le professeur Sutton.

La saison 3 a été confirmée par Prime Video quelques mois avant la diffusion du deuxième volet. Le scénario est en cours d’écriture et réunit de nouveau Harriet Herbig-Matten, Damian Hardung, Sonya Weißer et Eidin Jalali. À ce stade, aucune date de diffusion n’a été annoncée, mais le cycle de production actuel laisse envisager une sortie au second semestre 2026.
La saison 3 de Maxton Hall sera-t-elle la dernière ?
Si l’adaptation suit fidèlement l’œuvre de Mona Kasten, ce troisième chapitre constituera bien la fin de Maxton Hall. Le format même de la trilogie appelle une conclusion, et le message adressé aux fans – « une dernière fois de retour à l’école » – semble aller dans ce sens. Une prolongation au-delà des romans reste théoriquement possible, mais aucune indication ne suggère un désir de prolonger l’histoire.

Reste une question : le final des romans sera-t-il reproduit à l’écran ? La saison 2 a prouvé que l’adaptation assume des écarts mesurés pour renforcer la dramaturgie. Le public ignore donc si la production respectera l’œuvre à la lettre ou si elle offrira une fin alternative, peut-être plus lumineuse, peut-être plus cruelle.