À l’occasion du retour d’Omar Sy pour des aventures plus dangereuses et rocambolesques que jamais, L’Éclaireur a déniché des anecdotes sur le show phénomène.
Après deux ans d’attente, celui qui aime tant jouer avec son public fera bientôt son grand retour. Des indices et des codes ont alimenté la promotion de cette saison 3, devenant des ingrédients marketing essentiels à la saga. Mais si autant de soin est apporté au lancement de cette nouvelle saison, c’est surtout en raison de l’immense succès que représente Lupin au sein des programmes de Netflix.
1 Le casse français du siècle
En tant que série non anglophone, le fait d’exister sur Netflix est un privilège rare. Jusqu’à la sortie de Lupin en 2021, seule la production espagnole La Casa de Papel avait réussi à se faire un nom chez le diffuseur, cumulant plus de 700 millions d’heures vues avec sa saison 4.
Squid Game a pulvérisé ce record avec 2 milliards et 200 millions d’heures vues. Lupin, avec près de 400 millions d’heures visionnées pour sa saison 1, a pu s’inviter dans ce trio de productions étrangères. Brillant.
2 Une version pleine de « Punch »
Lorsque l’acteur Omar Sy a été approché pour le rôle, il n’était pas familier de l’œuvre de Maurice Leblanc, auteur des romans originaux. En revanche, il s’est intéressé au personnage à travers le manga créé par Monkey Punch, Lupin III, dont le héros n’est autre que le petit-fils d’Arsène Lupin. Une façon d’étoffer le champ des possibles sur cette réinterprétation du mythique gentleman cambrioleur, que l’acteur a eu soin de rendre unique par sa prestation.
3 Une dynamique positive
Avec le succès de ses deux premières saisons, le Lupin de Netflix a considérablement relancé l’intérêt des lecteurs pour les romans de Maurice Leblanc. À tel point que lors de sa première diffusion, l’éditeur Hachette a déclaré avoir vendu en 15 jours l’équivalent d’un stock capable de répondre aux demandes d’une année. Des rééditions ont même été spécialement mises en place pour soutenir cette demande exponentielle, qui aurait probablement ravi l’auteur.
