Les créateurs de l’anime ont dévoilé un nouveau poster de la saison à venir l’été prochain, et confirmé par la même occasion la place essentielle de Satoru Gojo dans ces nouveaux épisodes.
Si Gege Akutami, le mangaka derrière Jujutsu Kaisen, souffre de problèmes de santé le retardant dans son projet de conclure son œuvre d’ici à la fin de l’année, l’anime, lui, poursuit son cours. Comme Boruto et tant d’autres, il se nourrit des tomes déjà existants pour cela. La première saison a vu l’ascension de Yūji Itadori vers son statut d’exorciste, bien aidé par l’absorption d’un doigt de Sukuna qui lui donne des pouvoirs hors du commun.
En tant qu’hôte du démon, le jeune homme ne maîtrise cependant pas l’entièreté de ses capacités, et n’atteint donc pas le rang des meilleurs éléments de son école. Parmi eux, le plus impressionnant reste sans aucun doute son professeur, Satoru Gojo. Le voile de mystère qui entoure son passé devrait d’ailleurs être levé dans cette deuxième saison.
Trio d’Enfer
Le tout nouveau poster récemment apparu sur les réseaux montre le charismatique exorciste de classe S, entouré de deux de ses camarades durant sa formation, Suguru Geto et Shoko Ieiri. Pour les lecteurs du manga, ce flashback est annonciateur de scènes d’action grandioses, de pouvoirs démesurés et d’une origin story qui devrait expliquer beaucoup de choses aux néophytes.
Les spectateurs de l’anime qui sont restés sur la fin de la première saison vont enfin comprendre d’où provient l’ampleur des pouvoirs de Satoru, mais aussi le prix qu’il doit payer pour une telle puissance.
Bandeau levé
Si l’attente est grande autour de ce passé mystérieux, c’est aussi parce qu’il permettra d’en apprendre plus sur l’autre figure énigmatique de l’anime, Suguru Geto. Et notre cher Yūji, dans tout ça ? Disons juste que les événements ayant eu lieu entre son maître et ses camarades des années auparavant expliquent pourquoi sa condition d’hôte d’un redoutable démon n’inquiète pas outre mesure son maître. Si l’arc narratif Shibuya Incident reste l’un des favoris des lecteurs, les spectateurs risquent fort de ne pas en revenir, en découvrant pourquoi. Vivement le 6 juillet pour enfin « ouvrir les yeux ».