En résumé
Marshall est une marque qui met notamment l’accent sur le design de ses produits, qui ne ressemblent ainsi à aucun autre. C’est d’ailleurs le cas avec la Marshall Stockwell II qui reste dans la veine retro tout en s’éloignant des codes de la première itération. L’enceinte qui lorgne désormais du côté de la Marshall Kilburn II, bénéficie d’une finition soignée avec une coque en plastique mou qui résiste aux éclaboussures d’eau, et une élégante lanière en similicuir. Point de bouton ici mais des potentiomètres à l’ancienne qui offrent une ergonomie irréprochable pour régler le volume, le niveau des graves et des aigus. À cela s’ajoutent un petit bouton qui permet de lancer l’appairage de deux sources audio en Bluetooth grâce au multipoint, et une jauge qui indique le niveau de la batterie avec précision. Il est également possible d’écouter de la musique depuis un source analogique grâce au port AUX, et le port USB type C permet non seulement de recharger l’enceinte, mais aussi de charger un smartphone si besoin. En revanche, en l’absence de micro, l’enceinte ne peut pas faire office de kit mains-libres. Côté audio, Marshall privilégie une signature audio suffisamment neutre comme en atteste la bande passant qui est globalement linéaire. Les graves sont présents malgré un léger creux à 630 Hz, et les aigus sont légèrement accentués à 10 kHz. L’autonomie est bonne avec près de 20 heures d’écoute, mais la Marshall Stockwell II manque légèrement de puissance.
Note technique
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Réponse en fréquences
Puissance sonore
Autonomie
Connectiques et fonctionnalités
Dimensions & poids
Conclusion
Marshall est une marque qui met notamment l’accent sur le design de ses produits, qui ne ressemblent ainsi à aucun autre. C’est d’ailleurs le cas avec la Marshall Stockwell II qui reste dans la veine retro tout en s’éloignant des codes de la première itération. L’enceinte qui lorgne désormais du côté de la Marshall Kilburn II, bénéficie d’une finition soignée avec une coque en plastique mou qui résiste aux éclaboussures d’eau, et une élégante lanière en similicuir. Point de bouton ici mais des potentiomètres à l’ancienne qui offrent une ergonomie irréprochable pour régler le volume, le niveau des graves et des aigus. À cela s’ajoutent un petit bouton qui permet de lancer l’appairage de deux sources audio en Bluetooth grâce au multipoint, et une jauge qui indique le niveau de la batterie avec précision. Il est également possible d’écouter de la musique depuis un source analogique grâce au port AUX, et le port USB type C permet non seulement de recharger l’enceinte, mais aussi de charger un smartphone si besoin. En revanche, en l’absence de micro, l’enceinte ne peut pas faire office de kit mains-libres. Côté audio, Marshall privilégie une signature audio suffisamment neutre comme en atteste la bande passant qui est globalement linéaire. Les graves sont présents malgré un léger creux à 630 Hz, et les aigus sont légèrement accentués à 10 kHz. L’autonomie est bonne avec près de 20 heures d’écoute, mais la Marshall Stockwell II manque légèrement de puissance.