En résumé
À ce prix, difficile d’admettre que le casque de Skullcandy ne propose pas de réduction de bruit active. De plus, sa faculté à vous couper des bruits extérieurs passivement n’est pas particulièrement à saluer. En revanche, on peut lui reconnaître de se montrer discret : la note de perturbation, qui mesure le volume sonore s’échappant des écouteurs vers l’extérieur, est l’une des meilleures parmi les casques récents. Aussi, la distorsion sait se faire oublier à part sur la fréquence 200 Hz. En d’autres termes : peu de sons parasites viendront se faire remarquer. Enfin pour ce qui est de la signature sonore, le Skullcandy Crusher Evo est, comme bien d’autres, très porté sur les basses. Heureusement, il n’en oublie pas de proposer des médiums assez neutres. On aurait toutefois apprécié plus d’efforts sur les aigus.
Note technique
Les plus et les moins
- Très peu de perturbation extérieure
- Des basses puissantes, des médiums équilibrés
- Distorsion mesurée
- Autonomie de presque 40h
- Pas de réduction de bruit active
- Un peu cher payé
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Général
Réponse en fréquence
Distorsion
Sensibilité
Isolation
Perturbation
Autonomie
Connectivité & poids
Conclusion
À ce prix, difficile d’admettre que le casque de Skullcandy ne propose pas de réduction de bruit active. De plus, sa faculté à vous couper des bruits extérieurs passivement n’est pas particulièrement à saluer. En revanche, on peut lui reconnaître de se montrer discret : la note de perturbation, qui mesure le volume sonore s’échappant des écouteurs vers l’extérieur, est l’une des meilleures parmi les casques récents. Aussi, la distorsion sait se faire oublier à part sur la fréquence 200 Hz. En d’autres termes : peu de sons parasites viendront se faire remarquer. Enfin pour ce qui est de la signature sonore, le Skullcandy Crusher Evo est, comme bien d’autres, très porté sur les basses. Heureusement, il n’en oublie pas de proposer des médiums assez neutres. On aurait toutefois apprécié plus d’efforts sur les aigus.