En résumé
Très agréable à l’œil avec son format compact et sa dragonne permettant de la transporter partout, la Marshall Middleton est évidemment plus modeste que des modèles plus haut de gamme et imposants comme la Stanmore. En revanche, elle n’a pas forcément à rougir en matière de puissance. Avec 96 dB relevés à la sonde dans la chambre anéchoïque du Labo Fnac, on constate que l’enceinte donne tout ce qu’elle a. Ce n’est évidemment pas suffisant pour sonoriser une grande pièce, mais cela fera parfaitement l’affaire dans des situations plus nomades. Quid du son alors ? Les relevés de bande-passante nous informent sur les importantes distorsions qui apparaissent lorsqu’on ne se trouve pas parfaitement face au haut-parleur. On remarque également qu’il s’agit d’une enceinte assez « basseuse », et que la neutralité des aigus n’est pas forcément son fort. En somme : une signature sonore qui tend à reproduire ce à quoi l’on est habitués sur les écouteurs dernier cri.
Note technique
Les plus et les moins
- Puissance importante (pour sa taille)
- Format compact
- Des basses très marquées
- Quelques faiblesses dans les aigus
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Réponse en fréquences
Puissance sonore
Autonomie
Connectiques et fonctionnalités
Dimensions & poids
Conclusion
Très agréable à l’œil avec son format compact et sa dragonne permettant de la transporter partout, la Marshall Middleton est évidemment plus modeste que des modèles plus haut de gamme et imposants comme la Stanmore. En revanche, elle n’a pas forcément à rougir en matière de puissance. Avec 96 dB relevés à la sonde dans la chambre anéchoïque du Labo Fnac, on constate que l’enceinte donne tout ce qu’elle a. Ce n’est évidemment pas suffisant pour sonoriser une grande pièce, mais cela fera parfaitement l’affaire dans des situations plus nomades. Quid du son alors ? Les relevés de bande-passante nous informent sur les importantes distorsions qui apparaissent lorsqu’on ne se trouve pas parfaitement face au haut-parleur. On remarque également qu’il s’agit d’une enceinte assez « basseuse », et que la neutralité des aigus n’est pas forcément son fort. En somme : une signature sonore qui tend à reproduire ce à quoi l’on est habitués sur les écouteurs dernier cri.