En résumé
Un peu plus abordable que la Phantom Reactor 900 testée ici, mais tout de même facturée près de 1000 euros à son lancement, la Phantom Reactor 600 en reprend le design ainsi que l’équipement à l’exception du système d’amplification hybride ici annoncé avec une puissance de 600 W crête. D’où son nom, bien sûr. Face au modèle 900 W, elle est donc logiquement moins puissante, mais présente elle aussi l’avantage de pouvoir être réglée au volume maximal sans crainte de perdre en qualité audio. Nous avons ainsi pu mesurer jusqu’à 101 dB à 100 Hz à l’aide de notre micro placé à 50 cm sans constater de distorsion ou presque. Elle atteignait dans ce cas 0,2 %, et n’a jamais excédé les 2,4 % mesurés à 60 Hz pour 97 dB durant notre test. De quoi faire de cette Phantom Reactor 600 l’une des enceintes les plus puissantes dans la catégorie des petits formats, alors qu’elle excelle également en matière de bande passante et délivre des basses remarquablement profondes. Reste que son design quelque peu futuriste ne plaira pas forcément à tout le monde et que la Phantom Reactor 600 ne propose pas autant d’options que d’autres enceintes fil, comme le multiroom ou l’aide d’un assistant vocal. Il n’y a ici qu’à lancer sa musique en Bluetooth, en Wi-Fi (AirPlay, UPnP ou Spotify Connect) ou en filaire (jack 3,5 mm) et apprécier… C’est sûr, les audiophiles ne seront pas déçus !
Note technique
Les plus et les moins
- Bande passante ultra linéaire
- Distorsion quasi absente
- Profondeur des basses
- Peu d'options