En résumé
Skullcandy semble avoir redoublé d’efforts afin de se défaire de son image de marque pour adolescents, mais le Crusher Wireless manque encore des atouts suffisants pour séduire un public plus large. On aurait pourtant envie de se laisser tenter. Les finitions sont plutôt soignées et les commandes plutôt bien pensées. Il ne faut malheureusement pas bien longtemps pour voir pointer les premiers problèmes. Avec des basses trop présentes et des aigus en retrait, la qualité audio laisse clairement à désirer alors que la force d’appui, relevée à 730 gf au Labo, pèse vite sur le confort. Et cela, sans pour autant servir l’isolation, presque inexistante. Les fuites de son sont en revanche limitées. C’est d’ailleurs aussi le cas de la distorsion, alors que l’autonomie du Skullcandy Crusher le classe parmi les meilleurs casques en la matière. Le bilan reste néanmoins mitigé à l’arrivée, et la liste des qualités peine à compenser celle des défauts.
Note technique
Les plus et les moins
- Finitions soignées
- Excellente autonomie
- Peu de fuites
- Bande passante décevante
- Confort précaire
- Isolation presque inexistante
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Conclusion
Skullcandy semble avoir redoublé d’efforts afin de se défaire de son image de marque pour adolescents, mais le Crusher Wireless manque encore des atouts suffisants pour séduire un public plus large. On aurait pourtant envie de se laisser tenter. Les finitions sont plutôt soignées et les commandes plutôt bien pensées. Il ne faut malheureusement pas bien longtemps pour voir pointer les premiers problèmes. Avec des basses trop présentes et des aigus en retrait, la qualité audio laisse clairement à désirer alors que la force d’appui, relevée à 730 gf au Labo, pèse vite sur le confort. Et cela, sans pour autant servir l’isolation, presque inexistante. Les fuites de son sont en revanche limitées. C’est d’ailleurs aussi le cas de la distorsion, alors que l’autonomie du Skullcandy Crusher le classe parmi les meilleurs casques en la matière. Le bilan reste néanmoins mitigé à l’arrivée, et la liste des qualités peine à compenser celle des défauts.