En résumé
Plus petit modèle de la série Bluetooth de Marshall, la Stockwell se veut réellement nomade, avec son poids limité à 1,2 kg. Côté audio, l’appareil de 26 x 14 x 4,1 cm embarque deux transducteurs large bande de 2,25 pouces couplés à deux amplificateurs de 10 W. De quoi assurer une puissance mesurée à un maximum de 93 dB (à 100 Hz) à 10 % de distorsion maximum, et à 84 dB à 80 Hz. Rien de très choquant au regard de son format, qui lui permet de sonoriser sans problème une petite pièce ou un pique-nique en extérieur, mais n’a pas vocation à animer de grandes soirées à lui seul. La qualité est par ailleurs au rendez-vous, en témoigne une bande passante relativement neutre et à même de convenir à tous types d’utilisateurs. Les graves sont à peine accentués, tandis que les aigus, à l’honneur autour de 8 kHz – c’est la signature rock de Marshall – se maintiennent au-delà de 16 kHz. À l’autre extrémité de notre relevé, on note que les plus basses fréquences (60 Hz) ne peuvent être restituées. Rappelons également que cette enceinte, connectée en Bluetooth 4.0, présente sur le dessus de son boîtier des potentiomètres permettant de régler aigus et basses au goût de l’auditeur. Enfin, la Stockwell remplit son contrat de modèle nomade et excède les 25 heures d’autonomies promises par Marshall : nous avons relevé 27h05 d’usage lors de nos essais Labo. En somme, voilà une enceinte à emporter qui mêle design vintage efficace et qualité audio.
Note technique
Les plus et les moins
- Qualités acoustiques indéniables
- Autonomie longue durée
- Design "ampli" réussi avec entrée auxiliaire sur le dessus
- Puissance limitée par son format
- Extrêmes graves absents
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Ergonomie et design
Conclusion
Plus petit modèle de la série Bluetooth de Marshall, la Stockwell se veut réellement nomade, avec son poids limité à 1,2 kg. Côté audio, l’appareil de 26 x 14 x 4,1 cm embarque deux transducteurs large bande de 2,25 pouces couplés à deux amplificateurs de 10 W. De quoi assurer une puissance mesurée à un maximum de 93 dB (à 100 Hz) à 10 % de distorsion maximum, et à 84 dB à 80 Hz. Rien de très choquant au regard de son format, qui lui permet de sonoriser sans problème une petite pièce ou un pique-nique en extérieur, mais n’a pas vocation à animer de grandes soirées à lui seul. La qualité est par ailleurs au rendez-vous, en témoigne une bande passante relativement neutre et à même de convenir à tous types d’utilisateurs. Les graves sont à peine accentués, tandis que les aigus, à l’honneur autour de 8 kHz – c’est la signature rock de Marshall – se maintiennent au-delà de 16 kHz. À l’autre extrémité de notre relevé, on note que les plus basses fréquences (60 Hz) ne peuvent être restituées. Rappelons également que cette enceinte, connectée en Bluetooth 4.0, présente sur le dessus de son boîtier des potentiomètres permettant de régler aigus et basses au goût de l’auditeur. Enfin, la Stockwell remplit son contrat de modèle nomade et excède les 25 heures d’autonomies promises par Marshall : nous avons relevé 27h05 d’usage lors de nos essais Labo. En somme, voilà une enceinte à emporter qui mêle design vintage efficace et qualité audio.