Kristen Bell l’a annoncé elle-même sur les réseaux sociaux : la production romantico-spirituelle de Netflix reviendra pour une troisième saison, probablement en 2026.
L’annonce officielle se faisait attendre depuis plusieurs jours : elle est enfin tombée le 4 novembre. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, Kristen Bell a confirmé la mise en chantier d’un troisième chapitre pour Nobody Wants This. La comédie romantique créée par Erin Foster poursuivra donc son exploration des contradictions entre amour et religion.
Lancée sur Netflix l’an dernier, la série suit Joanne, une podcasteuse agnostique, et Noah, un rabbin, pris dans une relation improbable. Inspirée de la propre vie de sa créatrice, elle a séduit les abonnés par sa capacité à conjuguer satire, tendresse et introspection spirituelle sans basculer dans la mièvrerie.
Attention, cet article révèle des informations de l’intrigue de la saison 2.
Doutes et révélations
La deuxième saison, mise en ligne le 23 octobre dernier, a confirmé l’ampleur du phénomène. Elle s’est concentrée sur la relation entre les deux protagonistes, mais aussi sur la possible conversion de Joanne au judaïsme.

Leur relation, fragilisée par les malentendus et différences, a atteint un point de rupture à la fin du chapitre. Autour d’eux, les personnages secondaires – Esther et Sasha en pleine séparation, Morgan en quête d’un nouveau départ – ont aussi ouvert des pistes que la suite devrait développer.
La saison 3 en préparation
Netflix a confirmé le renouvellement dans un communiqué publié sur Tudum, précisant que la « writers’ room » (équipe en charge de l’écriture) était déjà à l’œuvre. Foster s’est dite ravie de prolonger l’aventure. Le tournage est prévu à Los Angeles, avec une diffusion envisagée courant 2026. Kristen Bell et Adam Brody reprendront naturellement leurs rôles, rejoints par Justine Lupe, Jackie Tohn et Timothy Simons.

Toujours produite par 20th Television pour Netflix, Nobody Wants This devrait conserver son format de 20 à 30 minutes et tenir en dix épisodes. Sa créatrice a également annoncé vouloir « creuser la dimension spirituelle sans sacrifier la comédie ». Ce troisième acte s’annonce donc comme un prolongement naturel de cette réflexion moderne sur la foi et l’amour.