Le diffuseur continue d’enrichir tout à la fois son catalogue d’anime, mais aussi de renforcer ses licences les plus prestigieuses.
Pour les fans du manga de Hirohiko Araki, la plateforme Netflix devient peu à peu une référence pour y retrouver son adaptation en anime. Après la diffusion de l’arc Stone Ocean l’an dernier, JoJo’s Bizarre Adventure y accueillera le 1ᵉʳ octobre celui de Golden Wind.
Dans le manga original, celui-ci précède la dernière saga, qui avait été proposée en exclusivité sur Netflix. En effet, Golden Wind traite les chapitres 47 à 63, alors que Stone Ocean partait du tome 64. L’occasion pour les spectateurs de (re)découvrir l’une des trames les plus fortes de cette œuvre à part, déjà diffusée sur ADN et Crunchyroll.
Pas très dolce vita
Le synopsis de Golden Wind nous transporte en Italie, avec Koichi Hirosé. Il y découvre Giorno Giovanna, fils de Dio, qui cherche à lutter contre des trafiquants de drogue avec ses alliés. Il devra alors affronter l’un des redoutables parrains napolitains, Diavolo. Cette cinquième partie de l’anime réalisé par David Production (déjà sur le futur Undead Unluck) comporte 39 épisodes et trois récapitulatifs.
Ils permettent de mieux comprendre les tenants et les aboutissants de cet arc, qui reste l’un des favoris des lecteurs de la version papier. Sa production remonte à 2018, mais la patte graphique unique et le talent des animateurs n’ont absolument rien à envier aux sorties récentes.
Une Jo(Jo)lie collection
Avec cet ajout majeur, la licence JoJo’s Bizarre Adventure en anime sera donc disponible en intégralité sur Netflix. Phantom Blood et Battle Tendency (26 épisodes), Stardust Crusaders (48 épisodes), Diamond is Unbreakable (39 épisodes) et le récent Stone Ocean (38 épisodes) couvrent l’intégralité de l’adaptation chez un seul et même diffuseur.
Ne reste plus qu’à attendre la suite des travaux de David Production, qui s’attaqueront aux arcs Steel Ball Run, JoJolion et de celui toujours en cours dans le manga, The JOJOLands. Gageons que la plateforme ne manque pas de s’en attribuer l’exclusivité, afin de compléter cette belle collection.