Fort de très bonnes performances depuis sa sortie japonaise, l’anime adapté du light novel vient de révéler sa date de sortie française.
Difficile d’exister dans le box-office japonais en cette fin d’année. En effet, deux monstres se partagent depuis quelque temps déjà les premières places, entre Suzume, le dernier Makoto Shinkai, et Slam Dunk First, le grand retour de la franchise sportive. Pour autant, Moi quand je me réincarne en Slime, sorti le 25 novembre, n’a pas démérité. Début décembre, le film comptait déjà plus de 750 millions de yens de recette, pour plus de 570 000 entrées. Une belle performance dans un contexte concurrentiel aussi fort, qui prouve l’intérêt du public pour cette histoire inédite imaginée par l’auteur du light novel, Fuse.
Scénario bien dingo
Pour rappel, ce scénario original fera voyager Limule et ses amis hors de Tempest, vers de nouvelles contrées où se trame un complot. L’enjeu de ce dernier repose sur une jeune fille dotée d’un immense pouvoir, que la petite troupe devra découvrir. L’univers heroic fantasy de Moi quand je me réincarne en Slime se révèle être un isekai pur jus.
Un genre où le héros est propulsé dans un univers différent de sa réalité. Ici, Satoru, simple employé de bureau, se retrouve dans un autre monde, dans la peau d’un Slime, une créature d’apparence très faible. Mais il va vite gagner des pouvoirs lui permettant de rivaliser avec ses futurs adversaires, dont il pourra même acquérir les aptitudes.
Slime affamé
Le light novel ayant connu un franc succès, il a été par la suite adapté en manga, mais également en série animée, qui compte déjà deux saisons, la troisième ayant été annoncée au début du mois de novembre dernier, lors d’une avant-première du film. La réussite de la franchise sur tous les plans pourrait donner lieu à des suites de ce premier long métrage, dont la sortie française vient d’être indiquée par Crunchyroll, son distributeur en Europe, au 1er février 2023. Les préventes débuteront le 10 janvier, présageant déjà d’un lancement ambitieux dans l’hexagone, l’un des territoires les plus avides d’anime après le Japon.
