La sortie du long métrage, attendu le 5 octobre partout en France, sera précédée d’avant-premières dans certaines régions.
C’était un évènement très attendu par les fans de l’oeuvre originale d’Akira Toriyama. Le succès de Dragon Ball Super: Broly, qui réhabilitait le personnage tenu un temps à distance des canons de la série par son propre créateur, a probablement décidé les exploitants de salles à accueillir ce second film avec les honneurs dus à son rang. Sur le plan technique, on notera que Dragon Ball Super: Super Heroes est le tout premier des 21 films d’animation de la saga a être réalisé totalement en images de synthèses. Les effets 3D y sont bluffants, qu’il s’agisse de rendre la vitesse de déplacement folle des protagonistes, ou la dimension dantesque de leurs affrontements.
Ruban adhésif
Et des combats, il risque fort d’y en avoir. Car le film fait revenir au premier plan une menace longtemps disparue : celle de l’armée du Ruban Rouge, qui ne lâche pas ses projets. Défaite par Son Goku alors qu’il n’était qu’un enfant lors de ses toutes premières aventures dans Dragon Ball, la redoutable organisation opère son retour avec les humains artificiels Gamma N°1 et Gamma N°2 qui cherchent à créer une arme maléfique ultime. Un projet prétexte idéal pour faire revenir à l’écran toutes les anciennes gloires si chères aux adorateurs de Dragon Ball, Son Goku, Son Gohan, Piccolo et Vegeta en tête.
Animé à l’écran, et dans la salle ?
Le Grand Rex fait partie des premiers cinémas qui ont ouvert leurs billetteries pour des projections en avant-première, et la liste plus générale des salles sera disponible via le site officiel du film. Dès le 2 octobre, donc, les spectateurs pourront se presser afin de découvrir les aventures de Goku et sa bande, dans une atmosphère qu’on espère plus détendue que les récentes séances de One Piece.
