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Plus de 200 000 plis pour le Samsung Galaxy Z Flip 3 : mythe ou réalité ?

15 juin 2022
Par Antoine Roche
Le Galaxy Z Flip 3, un best-seller chez Samsung
Le Galaxy Z Flip 3, un best-seller chez Samsung ©ESOlex/Shutterstock

Le smartphone pliable Samsung Galaxy Z Flip 3 est censé résister à 200 000 plis. Mais qu’en est-il après… 418 506 répétitions ?

Officiellement, d’après le constructeur sud-coréen, son smartphone pliant star, le Samsung Galaxy Z Flip 3, est conçu pour « survivre à 200 000 plis, soit environ cinq ans d’utilisation s’ils sont pliés et dépliés 100 fois par jour. » Bien entendu, des internautes ont décidé de vérifier cela.

Un produit qui plie (beaucoup), et ne rompt pas

Sur la chaîne YouTube Mrkeybrd, durant plusieurs jours, différentes personnes se sont relayées en direct et de manière festive pour plier et déplier à la chaîne le smartphone. Et il s’avère que c’est finalement au bout de 418 506 pliages, soit plus du double du nombre annoncé par Samsung, que le Galaxy Z Flip 3 a fini par montrer des signes de fin de vie, le rendant véritablement difficile à utiliser.

Car dès 330 000 pliages, la charnière a commencé à fatiguer, avec une impossibilité de refermer totalement le téléphone. Même chose côté dépliage, puisqu’à ce moment-là le produit ne pouvait plus être complètement mis à plat. Cependant, malgré cela, le téléphone de Samsung est resté parfaitement fonctionnel dans ses autres fonctions jusqu’au bout.

Quid du Samsung Galaxy Z Flip 4 ?

Une bonne nouvelle donc pour les nombreux acheteurs du Samsung Galaxy Z Flip 3, le terminal qui a compté pour 88% des ventes de smartphones pliants en 2021. Reste à espérer que le futur Galaxy Z Flip 4, dont les caractéristiques sont déjà en fuite, fera aussi bien avec son potentiel nouveau système de charnière censé être plus discret. Réponse probable en août prochain, tandis que côté fiche technique, on parle notamment d’un écran légèrement amélioré, d’une meilleure batterie et de performances revues à la hausse grâce à la dernière puce de chez Qualcomm.

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Article rédigé par
Antoine Roche
Antoine Roche
Journaliste