En résumé
Le britannique Bowers & Wilkins est connu pour la qualité du son, pas vraiment pour ses prestations en matière de réduction de bruit. Et ce constat s’illustre bien dans le test du Px7 troisième génération du Labo Fnac. La signature sonore adopte une pente assez douce, avec des basses relevées, un joli pic dans les médiums pour soutenir les voix, mais des aigus un peu aux oubliettes. Rien de rédhibitoire tant c’est là un signe de l’époque. D’autant que la distorsion est, dans l’ensemble, assez bien maitrisée. Reste que pour l’isolation sonore, le compte n’y est pas. Surtout pas à 429€. Les basses, en l’occurrence, sont très mal couvertes par l’ANC du Px7, ce qui peut poser problème notamment dans les transports en commun. Un bilan contrasté donc.
Note technique
Les plus et les moins
- Une signature sonore alléchante
- Peu de distorsion
- Réduction du bruit juste passable
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Général
Réponse en fréquence
Distorsion
Sensibilité
Isolation
Perturbation
Connectivité & poids
Conclusion
Le britannique Bowers & Wilkins est connu pour la qualité du son, pas vraiment pour ses prestations en matière de réduction de bruit. Et ce constat s’illustre bien dans le test du Px7 troisième génération du Labo Fnac. La signature sonore adopte une pente assez douce, avec des basses relevées, un joli pic dans les médiums pour soutenir les voix, mais des aigus un peu aux oubliettes. Rien de rédhibitoire tant c’est là un signe de l’époque. D’autant que la distorsion est, dans l’ensemble, assez bien maitrisée. Reste que pour l’isolation sonore, le compte n’y est pas. Surtout pas à 429€. Les basses, en l’occurrence, sont très mal couvertes par l’ANC du Px7, ce qui peut poser problème notamment dans les transports en commun. Un bilan contrasté donc.