En résumé
Bien plus chers que la majorité des produits JBL, ces Tour Pro 2 se présentent sous la forme d’écouteurs intra-auriculaires bien entendu dopés à l’ANC – la réduction active de bruit ambiant. Malgré cela, le résultat n’est pas tout à fait à la hauteur de nos attentes pour des écouteurs vendus 250€. Comme l’illustre la sonde du Labo Fnac, on peine à faire la différence entre l’isolation active et l’isolation passive. L’ANC semble surtout efficace pour réduire les sons graves. En revanche, les écouteurs laissent très peu s’échapper le son de ce que vous écoutez. De plus, et on s’y attend à ce prix, la distorsion est plutôt bien gérée à l’exception de la fréquence 200 Hz qui peut laisser s’inviter des parasites à l’occasion. Et le son alors ? Il y a du bon et du moins bon. La signature sonore est, comme souvent, érigée à l’honneur des basses. Reste que les médiums sont également très bien couverts et que quelques efforts sont faits pour offrir des aigus convaincants.
Note technique
Les plus et les moins
- La signature sonore agréable
- Peu de distorsion
- Peu de fuites sonores vers l'extérieur
- Isolation active un peu décevante
Détail des sous notes
Notre test détaillé
Général
Réponse en fréquence
Distorsion
Sensibilité
Isolation
Perturbation
Autonomie
Connectivité & poids
Conclusion
Bien plus chers que la majorité des produits JBL, ces Tour Pro 2 se présentent sous la forme d’écouteurs intra-auriculaires bien entendu dopés à l’ANC – la réduction active de bruit ambiant. Malgré cela, le résultat n’est pas tout à fait à la hauteur de nos attentes pour des écouteurs vendus 250€. Comme l’illustre la sonde du Labo Fnac, on peine à faire la différence entre l’isolation active et l’isolation passive. L’ANC semble surtout efficace pour réduire les sons graves. En revanche, les écouteurs laissent très peu s’échapper le son de ce que vous écoutez. De plus, et on s’y attend à ce prix, la distorsion est plutôt bien gérée à l’exception de la fréquence 200 Hz qui peut laisser s’inviter des parasites à l’occasion. Et le son alors ? Il y a du bon et du moins bon. La signature sonore est, comme souvent, érigée à l’honneur des basses. Reste que les médiums sont également très bien couverts et que quelques efforts sont faits pour offrir des aigus convaincants.