LE CERCLE LITTÉRAIRE – Le coup de cœur de Marie-Christine G. : » Illan est un marginal qui squatte un des appartements qu’il est sensé vendre, Soline est violoncelliste… sans violoncelle. Ils se sont rencontrés dans le train, ils s’aiment d’amour fou. Un jour, ils observent un vieux couple sur leur banc : « on dirait nous ». »
On dirait nous
Le coup de cœur de Marie-Christine G. (Montcresson)
Illan est un marginal qui squatte un des appartements qu’il est sensé vendre, Soline est violoncelliste… sans violoncelle. Ils se sont rencontrés dans le train, ils s’aiment d’amour fou. Un jour, ils observent un vieux couple sur leur banc : « On dirait nous ».
Ce couple, bien sous tous rapports habite l’immeuble de l’autre côté de la rue, juste en face. Georges est un chercheur renommé, Yoa est indienne née en Alaska, ils s’aiment depuis des décennies mais ils n’ont pas d’enfants. Ils s’incrustent dans la vie de Soline et Ilian et réalisent leurs rêves : ils leur rappellent tant leur jeunesse. Mais est-ce seulement pour la nostalgie et par gentillesse qu’ils les envahissent au quotidien ? Ne serait-ce pas plutôt de la manipulation par intérêt ? Yoa est malade, Georges ne veut pas la perdre. Alors ils offrent un marché à Soline et Illan. Leur couple résistera-t-il à cette épreuve ?
Comme à son habitude, Didier Van Cauwelaert nous entraîne dans un monde où la recherche de l’identité est fondamentale. Le texte est pétillant, tendre et drôle. La lecture agréable et douce vous fera oublier les petits soucis quotidiens
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Parution le 4 mai 2016 – 380 pages