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Samsung rhabille le Galaxy Note 8 pour les JO d’hiver 2018

18 janvier 2018
Par Mathieu Freitas
Samsung rhabille le Galaxy Note 8 pour les JO d’hiver 2018

À l’approche des Jeux Olympiques d’Hiver de PyeongChang, dont il sera le sponsor, Samsung présente une édition spéciale de son Galaxy Note 8.

Sponsor des Jeux Olympiques depuis 1988, Samsung sera évidemment de la partie pour l’édition hivernale qui débutera le 9 février prochain. D’autant que ces JO d’Hiver 2018 se dérouleront dans son pays d’origine, à savoir la Corée du Sud. Plus encore que d’habitude donc, la firme semble prendre son rôle très à cœur puisqu’elle a décidé de rhabiller son Galaxy Note 8 pour l’occasion, et d’offrir cette édition spéciale au personnel comme aux sportifs qui viendront se mesurer les uns aux autres dans la ville de PyeongChang.

Samsung Galaxy Note 8 PyeongChang 2018 Olympic Games Limited Edition

Au total, ce sont pas moins de 4000 smartphones que compte ainsi distribuer Samsung, tous ornés de symboles rappelant ces Jeux Olympiques d’Hiver. À commencer par le coloris. Hiver oblige, le Galaxy Note 8 troque ses coloris habituels pour une robe blanche comme la neige, qui habille également son S-Pen. Elle sera en outre rehaussée de détails dorés, « inspirés par la Torche Olympique » et incluant notamment le logo aux cinq anneaux symbolisant l’union des cinq continents au-dessus de l’inscription « WORLDWIDE PARTNER » au dos.

Samsung ajoute encore à cela des fonds d’écrans « PyeongChang 2018 » et indique que les participants aux épreuves handisport se verront offrir une coque marquée de l’inscription « Jeux Paralympiques » en prime. Quant à celles et ceux qui souhaiteraient se procurer ce Galaxy Note 8 PyeongChang 2018 Olympic Games Limited Edition dans le commerce, cela ne semble pas à l’ordre du jour. Dommage, d’autant qu’une édition similaire du Galaxy S7 avait elle été commercialisée pour les JO de Rio, en plus d’être offerte aux participants.

Samsung Galaxy Note 8 PyeongChang 2018 Olympic Games Limited Edition

Article rédigé par
Mathieu Freitas
Mathieu Freitas
Journaliste
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