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La génération d’images arrive gratuitement sur Gemini

11 octobre 2024
Par Pierre Crochart
La génération d'images arrive gratuitement sur Gemini
©Google

Annoncée cet été, la dernière version du moteur de génération d’images procédurale de Google s’invite sur toutes les versions de Gemini.

Et, bonne nouvelle, même les utilisateurs et utilisatrices de la version gratuite de l’intelligence artificielle de Google peuvent en profiter ! On vous explique comment cela fonctionne.

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Imagen 3 gratuit pour tous

L’annonce provient de Google même. Dans un post publié sur X, la firme annonce qu’Imagen 3, la dernière version de son modèle de génération d’images, est disponible à tous les utilisateurs de Gemini à travers le monde. Cela concerne donc non seulement la France, mais également les personnes n’ayant pas souscrit à Gemini Advanced, la version la plus avancée de l’IA de Google.

À l’heure où sont écrites ces lignes, Imagen 3 n’est pas encore accessible depuis le compte de l’auteur de l’article. Mais, comme souvent avec les fonctionnalités Google, cela peut prendre plusieurs jours, voire semaines, avant que tous les serveurs permettent d’y accéder. C’est notamment le cas avec la fonction Gemini Live, déployée il y a quelques jours par Google.

Comment fonctionne Imagen 3 ?

Développée par les équipes de DeepMind, Imagen 3 fonctionne peu ou prou comme n’importe quel autre moteur du genre. Il s’agit de concevoir un prompt qui détaillera les contours de l’image souhaitée (notamment son style graphique) afin de donner ses instructions à l’IA.

En l’occurrence, le moteur est intégré nativement dans Gemini. Pas de fenêtre additionnelle à ouvrir ou d’outil externe à installer. Il suffit d’ouvrir un nouveau chat avec Gemini et de lui demander tout simplement de générer une image en suivant nos instructions.

Il existe néanmoins quelques limites, rapporte 9to5Google qui a déjà accès à la fonctionnalité. En effet, les abonnés à Gemini Advanced ont bel et bien quelques avantages. En l’occurrence, un abonnement est nécessaire pour pouvoir générer des individus. Ce qui, avec le développement des deepfakes, n’est peut-être pas plus mal.

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Article rédigé par
Pierre Crochart
Pierre Crochart
Journaliste