Ce nouvel ajout de la franchise multimédia intégrera le catalogue de la plateforme dès vendredi. Les spectateurs de La Colo du Crétacé devraient reconnaître plusieurs visages familiers.
Lorsqu’il s’agit de conjuguer science-fiction et aventure, rares sont les œuvres qui atteignent la perfection du premier Jurassic Park. Adapté du roman de Michael Crichton, ce film de Steven Spielberg sorti en 1993 a marqué un tournant dans l’histoire du cinéma. Alliant des effets spéciaux révolutionnaires à une narration captivante, le long-métrage ne constituait pas seulement un divertissement spectaculaire, mais aussi une réflexion profonde sur les dérives de la technologie et la cupidité de l’homme. Thématique que l’on peine à se remémorer sans une pointe d’ironie, cinq films et une poignée de séries plus tard. Et la dernière en date s’avère bien plus proche de la trilogie avec Chris Pratt que des deux premières œuvres de la saga devenue franchise.
Petite chose, dégâts immenses
Située six ans après les événements de Jurassic World : la colo du crétacé, cette série nous permet de retrouver le club des six d’Isla Nublar, qui éprouve de grandes difficultés à trouver une place hors des îles. Ils naviguent désormais dans un monde hostile, où les dinosaures sont monnaie courante et un certain nombre de personnes leur veut du mal.
Réunis suite à la mort de leur amie Brooklyn, nos héros découvrent que le décès de celle-ci n’est pas une coïncidence. Bien au contraire, il s’agirait d’une conspiration au cœur de laquelle se réunissent des personnes mal intentionnées qui n’hésitent pas à envoyer leurs raptors commettre des crimes pour eux.
Réunis autour de cette aventure, les jeunes gens de La théorie du chaos (en référence à l’effet papillon expliqué par le professeur Malcolm dans le premier volet de la franchise) se retrouveront très vite à devoir démêler une conspiration mondiale qui menace autant le monde des humains que celui des dinosaures. Cette série créée par DreamWorks Animation sera disponible sur Netflix dès le 24 mai.