La nouvelle série Netflix bat des records d’audience. L’occasion de s’intéresser à trois autres productions qui nous plongent dans une ambiance similaire.
1 One Piece
En portant à l’écran l’œuvre immense d’Eiichirō Oda, Netflix a lancé une nouvelle vague d’adaptations de mangas et d’anime. Sans l’accueil triomphant de sa série One Piece, la plateforme n’aurait probablement pas autant cru en Avatar, le dernier maître de l’air.
Les histoires sont différentes, mais ces deux créations originales partagent quelques points communs, à commencer par leur héros atypique et détenteur d’un pouvoir que les autres n’ont pas, capable de fédérer et de réunir autour de lui.
One Piece réunit aussi un casting bienveillant et attachant qui nous embarque immédiatement dans ses aventures. Tout comme Avatar, cette série parvient à concilier le fantastique et l’exigence de la prise de vue réelle, malgré la richesse et la singularité du matériel d’origine, pour en faire une œuvre solide et crédible sans en perdre l’essence même, promettant une seconde saison déjà très attendue.
2 Arcane
Le portage en live action est un exercice complexe, mais Netflix maitrise parfaitement l’adaptation en animation de différents univers foisonnants. Dernier exemple en date : le phénomène Arcane, qui est parvenu à convaincre le public et à créer un véritable engouement autour de son style graphique, sa narration et son intensité.
Arcane, c’est le développement de relations fraternelles et familiales au sein d’enjeux plus grands – une thématique que l’on retrouve dans Avatar, le dernier maître de l’air. Les allégeances changent vite, les alliances sont constamment questionnées, et la richesse du monde inventé donne de l’authenticité à l’ensemble. Sans surprise, la production a été renouvelée pour une seconde saison, attendue d’ici à la fin d’année 2024.
3 Into the Badlands
Into the Badlands est une série atypique : dans un monde post-apocalyptique, plusieurs barons se partagent des terres et dirigent d’une main de fer les peuples. La technologie se fait rare, et les combats se règlent à l’arme blanche ou avec les arts martiaux.
De la même manière qu’Avatar, Into the Badlands est à conseiller aux adeptes de combats impressionnants à mains nues et de chorégraphies ambitieuses. Le jeu politique est également au centre du récit, et évolue selon la domination d’un peuple sur l’autre.
