Le dernier Nintendo Direct a dévoilé des informations inédites sur les aventures de Link, et de nouveaux titres. Mais une annonce fait particulièrement le buzz.
Le rendez-vous proposé par Nintendo avec son fameux Direct était, comme souvent, articulé autour de quelques jeux forts. Cette édition était notamment centrée sur Zelda Tears of the Kingdom, le remake de Metroid Prime, déjà disponible sur le Nintendo Store (et le 3 mars en version physique) ainsi que la sortie de Pikmin 4, annoncée pour le 21 juillet.
Du côté de la suite de Breath of the Wild, le champ des possibles révélé s’annonce monstrueux. En effet, loin de ne se passer que dans les cieux, Tears Of The Kingdom proposera une aventure sur deux plans, terrestre et aérien. Pour se déplacer plus vite, Link pourra compter sur des véhicules, dédiés à chaque domaine. La promesse d’un monde ouvert encore plus vaste, pour une aventure s’affichant comme plus sombre, en cohérence avec ce que le titre laissait déjà sous-entendre.
Larmes de collectionneurs
Ce nouveau trailer fait grimper d’un cran les attentes, après un premier teaser en septembre dernier. Outre cette séquence mêlant phase de jeu et superbes séquences cinématiques, Nintendo a aussi annoncé une bonne nouvelle pour les collectionneurs. Tears of the Kingdom se déclinera en effet en deux versions, classique et collector.
Cette dernière embarquera un superbe steelbook, un poster métallique, un coffret contenant quatre pins ainsi qu’un artbook. De quoi justifier un tarif indiqué aux États-Unis autour de 129$, que l’on imagine converti en 130€ chez nous. Mais c’est le prix de la version de base du jeu qui soulève des questions.
Réalité augmentée
D’abord dévoilé pour l’Amérique du Nord, le tarif affiché de la prochaine aventure de Link est de 69,99$, soit dix de plus que les jeux Switch Nintendo précédents sur ce continent. En France, suite à la présentation d’hier, les précommandes tournent autour de 65€… avec une remise sur le prix conseillé, de 69,99€, donc.
Le flou entourant ces nouveaux tarifs, notamment en l’absence d’une communication officielle de Nintendo à ce sujet, laisse à penser qu’à l’image de Sony et Microsoft, le géant japonais aurait décidé d’augmenter le tarif de ses productions. Dans un contexte d’inflation mondiale, le prétexte serait déjà tout trouvé.