Le jeu adapté de l’univers d’Harry Potter a montré quelques aspects inédits durant un streaming de ses développeurs. Le jeu sortira le 23 février 2023.
Le quatuor composé du game director Alan Tew, du senior environment artist Boston Madsen, du community manager Chandler Wood et du community host James Whitehead avait pour mission de présenter la jouabilité de Hogwarts Legacy, le 11 novembre dernier. L’approche de sa sortie, le 23 février prochain, pousse le studio Avalanche à dévoiler un peu plus son ambitieux projet. Pour commencer, un long passage consacré à la création du personnage principal rassurait sur la possibilité de l’éditeur, donnant vraiment la possibilité de créer l’élève de Poudlard de ses rêves via une multitude d’options. Créer un magicien ou une magicienne vous ressemblant, un personnage totalement original, ou au contraire reproduire un héros emblématique de la saga Harry Potter : tout est envisageable.
Le tour du propriétaire
Ensuite, la présentation a débuté par un petit tour au sein du château de Poudlard, commençant par la salle de Poufsouffle. Si l’on savait déjà que les environnements feraient l’objet d’un soin tout particulier, leur niveau de détail et les retrouvailles avec des lieux iconiques de la saga ont convaincu les plus sceptiques. Une carte affichée au bas de l’écran permet de se repérer en un clin d’œil dans les dédales de Poudlard. Un avant-goût prometteur, d’autant qu’il reste encore à découvrir les extérieurs, promis comme nombreux et riches en quêtes annexes et rencontres plus ou moins dangereuses.
Combats et baguettes
Cette présentation exhaustive s’est achevée avec les très attendues phases de combat. Le joueur disposera de 16 sorts accessibles directement via une roue d’options. Il sera possible de s’entraîner sur un mannequin, mais c’est durant les affrontements réels que chaque pouvoir montrera son efficacité. Un peu à la manière d’un feuille-pierre-ciseau, chacun est représenté par une couleur, plus ou moins efficace contre une autre. Il est également possible de réaliser des esquives et des contre-attaques, pour un résultat qui se montre très dynamique. En résumé, ces 45 minutes auront donné envie d’en découvrir plus encore, malgré les polémiques toujours très fortes autour de la créatrice de cet univers, J.K. Rowling.
