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Facebook Messenger adopte aussi un Mode sombre : voici comment l’utiliser

04 mars 2019
Par Romain Challand
Facebook Messenger adopte aussi un Mode sombre : voici comment l’utiliser

Jamais le dernier quand il s’agit de tester de nouvelles fonctions, Facebook Messenger se lance discrètement sur le créneau du Mode sombre.

En 2019, tout le monde succombera au Dark Mode (Mode Sombre). Pour les plus néophytes, le Mode Sombre correspond à une charte graphique où la palette de couleurs est inversée. Plutôt que d’avoir des couleurs claires, comme sur la plupart des pages web par exemple, elles sont foncées, permettant selon certains de moins fatiguer les yeux, notamment lorsqu’on est dans un environnement sombre. On peut alors aussi parler de Mode Nuit.

 © Facebook
© Facebook

Cette fonctionnalité proposée en option sur de nombreuses applications a été démocratisée par macOS Mojave, qui en a largement fait la promotion. Aujourd’hui, c’est au tour de Facebook Messenger d’opter pour un mode nuit, qui est cependant bien caché au sein de l’application, le temps que les développeurs soient prêts à le lancer plus globalement. L’entreprise a débuté les tests depuis la fin 2018.

Comment l’activer ?

Pour l’activer, il faut se rendre sur une conversation, et définir l’emoji de celle-ci sur le “croissant de lune”. Envoyez ensuite cet emoji à la personne, et un message apparaîtra pour expliquer que vous avez trouvé le Mode sombre, avec une invitation à accéder aux paramètres de Messenger. Ne reste alors qu’à switcher vers ce mode pour voir l’interface se parer de noir.

 © Labo Fnac
© Labo Fnac

Si cette option fait du bien aux yeux, elle n’est pas forcément synonyme d’économies d’énergie. Comme vous le savez, seul le fonctionnement des écrans OLED permet de préserver sensiblement l’autonomie d’un appareil lorsque du noir est affiché, puisque les pixels concernés resteront éteints. Au contraire, qu’il s’agisse de blanc ou de noir à afficher, les écrans LCD feront fonctionner le rétroéclairage quoi qu’il arrive.

Article rédigé par
Romain Challand
Romain Challand
Journaliste
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