En dehors de prix et de dates, les nouveaux PC portables gaming Lenovo Legion se sont dévoilés sous toutes les coutures.
Pourquoi annoncer un nouveau PC portable gaming quand on peut en lancer… cinq ? C’est peut-être ce que s’est dit Lenovo, qui vient de lever le voile sur de nouveaux ordinateurs de sa gamme Legion à destination des joueurs. Les Legion 770 et 570 et leurs déclinaisons partagent quelques points communs, à commencer par la présence de Windows 11 et de châssis fins dotés en leur sein de composants prometteurs.
Le Lenovo Legion 770i comme fer de lance
Vient tout d’abord le Legion 770i. Plus fin de 37% que la génération précédente, ce PC portable propose un écran LCD de 16 pouces doté d’une résolution WQXGA (2 560 x 1 600) avec un taux de rafraîchissement de 165 Hz. Celui-ci supporte le HDR 400 et la technologie Nvidia G-Sync. Pour donner vie à cela, un GPU Nvidia GeForce RTX 370 accompagné d’un CPU Intel Core i7-12800HX et de 16 Go de RAM en DDR5-4800 sont de la partie. Le stockage est assuré par un SSD NVMe de 1 To et la batterie est censée pouvoir tenir 11 heures.
Vient ensuite le Legion Slim 770i. Ce modèle baisse un peu en gamme côté CPU (Intel Core i7-12700H) et GPU (Nvidia GeForce RTX 3060), mais ne pèse que 2,23 Kg. 9h de batterie sont annoncées, tandis qu’à son point le plus fin ce PC ne fait que 16,9 mm d’épaisseur.
Trois versions pour le Lenovo Legion 570
Passons au Lenovo Legion 570, qui se décline en versions 570i Pro, 570 Pro et 570 tout court. Ce dernier est le plus raisonnable de tous, avec un écran Full HD de 15,6 pouces. AMD Ryzen 5 6600H et Nvidia GeForce RTX 3050 sont là, avec 16 Go de RAM et 512 Go de stockage SSD NVMe. Un peu moins de 6h de batterie sont annoncées. Les 570i Pro et 570 Pro arborent les mêmes dalles de 16 pouces que les Legion 770, mais diffèrent côté CPU et batterie. Le premier fait le choix d’un Intel Core i7-12700H et 8h d’autonomie, tandis que le second choisi un processeur AMD Ryzen 7 6800H pour 11h de batterie.
Malheureusement, pour des dates ou des prix de commercialisation, il faudra patienter.
À lire aussi
À lire aussi
